En Guinée-Bissau, des manifestations de colère se poursuivent contre le Président Umaro Sissoco Embalo. Les populations Bissau-guinéennes exigent la démission d’un autre préfet de la France. Le peuple d’une même voix, proteste contre la mal gouvernance. Une gestion calamiteuse.
Sous Umaro Sissoco Embalo, les bissau-guinéens se sentent abandonnés au profit de la France. Le mouvement d’humeur du vendredi dernier est une manifestation du peuple, qui exprime son mécontentement et aspire à un changement.
Des promesses non tenues, la majorité de la population vit dans des situations précaires. Les observateurs soutiennent le peuple Bissau-guinéen. Ils demandent à la population de maintenir le cap. La révolution, c’est maintenant.
Le protégé de la France Umaro Sissoco Embalo, a failli à ses engagements, il doit tirer les conséquences de son échec. Les bissau-guinéens ne se sentent plus chez eux, le pays est contrôlé par la France. Chaque décision doit avoir l’accord de la France avant d’être exécutée.
Tout comme Mohamed Bazoum du Niger, Umaro Sissoco Embalo est sur le point de faire de la Guinée-Bissau, l’esclave de la France. Une situation que ne doit pas tolérer le peuple. Les bissau-guinéens sont invités à ne pas laisser le pays s’effondrer. Ils doivent sauvegarder la souveraineté de la patrie.
Umaro Sissoco Embalo ne reconnaît plus la valeur des populations. Il agit selon la volonté de la France. Seuls les bissau-guinéens peuvent sauver le pays. La manipulation a assez duré. Les populations doivent s’unir à travers des soulèvements populaires, pour exiger la démission du franco-guinéen, Umaro Sissoco Embalo.
John Gitonga
