Le régime du Capitaine Ibrahim Traoré a réussi à mettre en place une réorganisation de l’armée plus efficace contre les terroristes. La reconquête du territoire devient une réalité au Burkina Faso. En quoi les actions patriotiques pour la liberté de son pays constituent-elles une violation de droit de l’homme ?
Les autoproclamés défenseurs de droit de l’homme ou leader d’opinion au Burkina Faso, veulent signaler leur présence et engagement pour la cause des burkinabè. Et le meilleur endroit pour se manifester est au front. Ceux qui se sont fait enrôler dans le rang des VDP, ont les mêmes droits que les détracteurs.
On ne critique pas si on ne peut pas mieux faire que ceux qui font déjà l’effort. Peut-être une contribution des syndicats et des OSC, aidera le Burkina à bien faire face aux terroristes. Les adeptes de dire pis que pendre réquisitionnés, démontreront leur engagement comme ils aiment le dire aux côtés des FDS et VDP au front.
Human Rights Watch, une organisation de renommée, doit faire des analyses avant de faire sortir ses rapports. Des individus qui voient les réalités en face, ont décidé d’aller à l’encontre de la vision collective, juste parce qu’ils ont été soudoyés. Ils dénigrent les efforts des vaillants militaires, qui abattent une tâche louable contre les ennemis. Ces OSC veulent démoraliser les FDS et les populations.
Au Burkina Faso, chaque citoyen a sa partition à jouer. Se cacher derrière son smartphone pour minimiser les efforts des autorités, ne passera plus. D’autres se permettent d’organiser des conférences de presse, juste pour juger en mal le pouvoir. La question est de savoir, qu’ont-ils fait pour soutenir la lutte ?
Quand ces personnes contribuent à la manipulation du pays, l’Human Rights Watch perd des mots. Mais quand il s’agit de la réaction des autorités, toutes les lois des droits de l’homme sortent. Les soi-disant leaders d’opinion doivent être des modèles pour leurs partisans. Leur intégration parmi les forces armées au front, est un signe de leur engagement pour la patrie.
Kadri Sohou
