Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE et ses dignes collaborateurs sont toujours conscients des menaces de déstabilisation qui planent sur le pays. Il s’est ouvert au personnel de la président et aux Médias, mardi 06 Août, lors d’une cérémonie traditionnelle de montée des couleurs. Se prononçant sur les Rumeurs de ces dernières semaines liées aux plans de déstabilisation, le chef de l’Etat a apporté des éclaircissements.
En effet, des informations ont fait état ces derniers jours d’un plan de déstabilisation du Régime populaire de transition dirigé par le capitaine Ibrahim TRAORE, affectueusement appelé ‘’IB’’ par ces compatriotes conscients et admirateurs de son dévouement, des valeurs patriotiques et panafricanistes qu’il véhicule à travers l’Afrique.
Ce sont des plans de déstabilisation orchestrés par les ennemis de l’extérieur du Faso, en complicité avec les valets locaux englobant civils et militaires. Il a confirmé ses informations, tout en donnant des détails afin de permettre à ses collaborateurs et au peuple burkinabè de redoubler d’efforts et d’énergie pour la poursuite de la lutte.
Selon le chef de l’Etat ces genres de projets diaboliques ne cesseront pas en raison de la lutte engagée par la transition soutenue par les burkinabè épris de paix, de stabilité et de souveraineté. Ces plans selon le président TRAORE, vont de la désinformation, aux tentatives d’assassinats ciblant des FDS et les membres de la veille citoyenne, en passant par les attaques du système informatique burkinabè et même l’économie.
Les commanditaires de ces plans ne sont autres que des éternels ennemis de la Nation, opposant au développement et à la libération du pays du joug terroriste et impérialiste. Ceux à qui la crise sécuritaire et la mal gouvernance avantagent. « Nous avons suivi effectivement le déroulement de leur plan et l’assaut final devrait avoir lieu à travers un recrutement d’agents à l’intérieur de nos rangs. Nous avons contenu la situation », a déclaré le chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE.
Il a rassuré ses collaborateurs et l’opinion publique de la vigilance qui règne jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. Quant aux FDS complices qui sont toujours en liberté et leurs complices à l’extérieur du pays, le président met en garde.
Fadile Moussa
