Le Burkina Faso est le théâtre de fréquentes attaques terroristes depuis 2015. Pendant huit ans, la vie n’était pas facile au peuple burkinabè. L’insécurité ne permettait pas de ravitailler les zones en difficulté. De 2016 à 2022, plus de 13.000 burkinabè ont trouvé la mort dans les attaques, faute d’un manque d’équipements sophistiqués pour l’armée nationale.
Faire une comparaison c’est beau, mais mettons sur table les réalités sur le terrain. En huit ans, les régimes avant le MPSR 2 ont montré leur incompétence dans la lutte contre les djihadistes. L’insécurité est le principal embarras du peuple burkinabè. À quoi ça sert de parler d’une gouvernance, si son peuple n’est pas en sécurité ?
L’Unité d’action syndicale, ne dira pas aux burkinabè qu’elle ignore cette réalité. Le Burkina Faso retrouve aujourd’hui sa place sur le plan continental, grâce aux actions du MPSR 2. En moins d’un an, le MPSR 2 a mis en marche la machine de la lutte efficace contre le terrorisme. Jeter des injures au régime en place revient à une pure manipulation politique.
Les terroristes qui faisaient la loi au Burkina Faso depuis huit ans, sont soutenus par des forces impérialistes et même par certains politiciens burkinabè. Le peuple burkinabè doit comprendre qu’une autre forme de manipulation vient encore de faire surface. Des individus se cacheront derrière les casquettes des organisations syndicales pour pouvoir manipuler le peuple burkinabè.
À titre de rappel, les burkinabè n’attendent plus parler des nombres d’attaques ni de morts humains comme cela fut le cas huit ans en arrière. Une lourde tâche est abattue et continue toujours de gagner du terrain au Burkina Faso. Le MPSR 2 tient ses promesses. Le Capitaine Ibrahim Traoré a fait en moins d’un an, ce que ses prédécesseurs n’ont pas pu faire en huit ans.
Koussouwè Marguerite
