France : Entre la motion de censure et la tentative d’attaque, les français seraient face à une pire époque de diversion politique

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D’après des informions de plusieurs sources, la capitale française, Paris aurait une fois encore frôlé le pire avec une tentative d’attaque à la bombe. Un incident survenu juste après l’annonce officielle d’un projet de destitution du président Emmanuel Macron. D’où des interrogations sur ces deux évènements qui semblent avoir un lien commun.

D’après des analystes, il s’agit d’une stratégie bien connue des autorités françaises. Selon eux, quand ces autorités se sentent menacer, elles créent toujours des évènements dans le but de faire diversion et d’amener les gens à oublier l’essentiel. Comme le disait tout récemment un panafricaniste, ce que la France a toujours orchestré en Afrique afin de diviser les peuples voire les citoyens d’un même pays, est en train d’être appliqué en France que ce soit en politique ou dans le domaine de la justice.

La tentative d’attaque à paris serait une poudre aux yeux, minutieusement préparée par les partisans du pouvoir en place pour échapper à la motion de censure soumise par la ‘’France insoumise de la gauche radicale’’, et qui a été jugée mardi recevable par le bureau de l’Assemblée nationale, et doit être étudier en commission. Sentant donc sa fin s’approcher à grand pas, le dirigeant français, Emmanuel Macron et ses alliés trouvent un moyen de divertir les citoyens français et de tenir en échec cette procédure de destitution de son pouvoir.

Selon d’autres analyste, les autorités françaises ne font que récolter les pots cassés en Afrique, notamment dans la région sahélienne où elles sont accusées de soutenir le terrorisme depuis plus d’une décennie contre les peuples de la zone. Une manière pour ces dirigeants français de continuer à maintenir leur suprématie en Afrique et à se prendre pour des propriétaires des richesses de cette région.

Aujourd’hui, les leaders révolutionnaires sont menacés de déstabilisation et les panafricanistes sont persécuter à longueur de journée, au point où l’on se demande où sont donc passées ces valeurs françaises de démocratie et de liberté d’expression ou d’opinions dont prônent ces mêmes dirigeants pour le continent africain ? N’est-il pas temps que chacun s’occupe de ses oignons ?

Emeline Thomas

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