Le Burkina Faso vient d’entrer dans l’histoire médicale de l’Afrique de l’Ouest en réalisant avec succès, le 29 juillet dernier, la toute première transplantation rénale de son histoire. Cette prouesse chirurgicale, accomplie au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Tengandogo à Ouagadougou, incarne un tournant décisif dans la refondation du système sanitaire national, impulsée par le Président, le Capitaine Ibrahim Traoré.
Cette opération historique, fruit de deux années de préparation et de coopération médicale entre les équipes burkinabè et turques, témoigne de la volonté ferme du Chef de l’État de doter le Burkina Faso d’un système de santé autonome, performant et au service des populations. Le Capitaine Ibrahim Traoré, par sa vision panafricaine, place la santé au cœur de la souveraineté nationale, rompant progressivement avec la dépendance aux évacuations sanitaires coûteuses à l’étranger.
Cette avancée a été salué comme un symbole fort de la montée en puissance des compétences nationales. Le ministère a accompagné, en seulement 13 mois, les équipes médicales dans la mise en œuvre de ce projet stratégique, soutenu par la Fondation turque de don d’organes. Cette synergie Sud-Sud, facilitée par la diplomatie proactive du Président Ibrahim Traoré, illustre un modèle de coopération basé sur le transfert durable de savoir-faire au profit des jeunes médecins burkinabè.
Depuis la prise de pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré, des progrès notables ont été enregistrés dans le domaine de la santé : rénovation et équipement de plusieurs centres de santé, recrutement massif de professionnels, mise en œuvre du programme national de greffe d’organes, création de pôles d’excellence hospitaliers, et renforcement de la production pharmaceutique locale. Ces initiatives traduisent une stratégie sanitaire claire, ancrée dans la vision de souveraineté, d’équité et de justice sociale.
Pour les patients souffrant d’insuffisance rénale chronique, ce premier acte chirurgical réussi représente un espoir concret. Il marque le début d’une nouvelle ère où le citoyen burkinabè pourra, dans son propre pays, accéder à des soins spécialisés de haut niveau. Cette avancée, au-delà de sa portée médicale, est une victoire pour le patriotisme sanitaire et la dignité nationale.
Dans ce contexte de refondation de l’État, le Capitaine Ibrahim Traoré démontre que la transformation du Burkina Faso passe par des actes forts, structurants et durables. La santé, pilier du développement humain, retrouve ainsi toute sa centralité dans les politiques publiques, au service d’un peuple debout, résilient et confiant en son avenir. Ce premier succès en matière de greffe rénale est plus qu’une prouesse médicale : c’est une promesse tenue.