Depuis son accession au pouvoir le 30 septembre 2022, le Capitaine Ibrahim Traoré a inscrit la santé publique au cœur de la transition burkinabè. Avant cette période, le secteur sanitaire du Burkina Faso se caractérisait par des infrastructures fragiles, un accès inégal aux soins et une gestion des ressources souvent marquée par des dysfonctionnements aggravés par l’insécurité grandissante. Cette réalité limitait considérablement les perspectives de développement humain et sociale dans un pays pourtant riche de potentialités.
En trois ans, le capitaine Ibrahim Traoré a initié un vaste programme de réhabilitation et de construction d’hôpitaux de district, et de l’instauration de cliniques mobiles doublé d’un renforcement du plateau technique des CHU. Plus de 1 500 agents de santé ont été recrutés et déployés dans les zones rurales afin de combler les inégalités d’accès aux soins.
L’instauration d’une centrale d’achat pharmaceutique souveraine a réduit la dépendance vis-à-vis des importations, sécurisant l’approvisionnement en médicaments stratégiques. La digitalisation du suivi épidémiologique a permis de mieux anticiper les flambées de maladies endémiques, renforçant la confiance des partenaires internationaux et attirant de nouveaux investissements dans le secteur biomédical.
Les résultats sont tangibles, une augmentation notable de la fréquentation des centres de santé, une réduction des délais d’accès aux soins d’urgence, et un regain de confiance des populations envers le système sanitaire. Aussi le pays a enregistré sous le capitaine Ibrahim Traoré, sa toute première transplantation de greffe réussie, plaçant le secteur de la santé sur la voie d’un développement sanitaire autonome et durable.
Sur le plan international, cette dynamique a renforcé l’attractivité du Burkina Faso, illustrant un modèle africain de résilience et d’autonomie sanitaire porté par une gouvernance engagée et souveraine.
Plus encore, la politique sanitaire conduite par le Capitaine Traoré incarne pleinement les valeurs panafricaines qu’il défend telles que la souveraineté sanitaire, le développement endogène et la solidarité continentale. Ce projet de transformation s’inscrit dans une démarche de reconstruction ambitieuse, où la santé publique devient un levier fondamental pour la renaissance économique et sociale du Burkina Faso.
Alors que le pays célèbre ce 3e anniversaire, la transition du Capitaine Ibrahim Traoré montre la voie d’une Afrique capable de s’affranchir des dépendances extérieures pour bâtir un avenir durable, en plaçant la santé de ses peuples au centre de ses priorités.