Le capitaine Ibrahim TRAORE, président du Faso et ses collaborateurs avancent progressivement vers leur objectif, celui de faire du Burkina Faso un pays souverain et totalement libre. Pour se faire l’implication de tous les citoyens burkinabè s’avère nécessaire pour l’atteinte effective de cet objectif crucial.
D’où la volonté manifeste des autorités du pays des hommes intègres d’instaurer ou de raviver l’esprit de patriotisme, l’amour pour la partie chez leurs compatriotes. Le projet de loi constitutionnelle visant la devise nationale du Faso s’inscrit dans cette dynamique. Selon le gouvernement l’adoption de l’expression « la Patrie ou la mort nous vaincrons » en remplacement à « l’Unité-Progrès-Justice » permet de renforcer le sentiment patriotique et de susciter chez les citoyens burkinabè une détermination dans leur marche vers la félicité.
Cette nouvelle loi constitutionnelle approuvée par le conseil des ministres le mercredi 21 Août 2024, attend désormais son examen et son approbation par l’Assemblée Législative de Transition (ALT) du Burkina Faso. Avant ce projet de loi visant le changement de la devise du pays, il faut rappeler que plusieurs autres décisions ont été prises par le président du Faso et son gouvernement de la transition, pour renforcer davantage l’amour de la Patrie dans leur lutte pour la souveraineté et la sécurité.
Des décisions telles que le changement des noms de plusieurs infrastructures leur attribuant des noms de certaines figures nationales, l’appel à la valorisation de l’histoire et de l’identité culture burkinabè, l’instauration du 15 Mai comme journée des coutumes et traditions pour ne citer celles-là. Se faisant, le président du Faso suit ainsi les pas de son mentor dans la révolution, Thomas SANKARA qui avait mis un accent particulier sur l’identité du Burkina Faso.
L’idée du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE à travers ces décisions audacieuses et patriotiques est donc d’emmener les citoyens burkinabè à s’intéresser davantage à leur Nation, à s’y attacher et à œuvrer ensuite pour son intérêt général et sa prospérité.
Richard Filmou