Burkina Faso : Solidarité nationale, l’engagement sans précédent des fonctionnaires dans la guerre contre le terrorisme

ÉCONOMIE POLITIQUE

La révolution actuelle au Burkina Faso est actuellement perçue comme une étape décisive dans l’histoire du pays, en raison de la mobilisation générale, tant des soldats que de la population, qui est indispensable pour soutenir l’effort de guerre. L’ampleur de l’engagement des Burkinabè est sans précédent historique.

Depuis l’avènement du Capitaine Ibrahim Traoré, cette implication, revêtant des formes diverses, est devenue un véritable objet d’histoire. Les fonctionnaires d’État sont plus que jamais impliqués dans la guerre menée par les autorités contre les terroristes.

Les moments difficiles que traverse le Burkina Faso exigent un effort collectif. Les fonctionnaires, par une décision louable, ont fait preuve d’un patriotisme exemplaire en décidant de soutenir activement les forces de défense et de sécurité.

Pour répondre à l’urgence de la question sécuritaire au Burkina Faso, les fonctionnaires ont unanimement décidé de consacrer 1% de leur salaire en contribution à l’effort de guerre. Leur engagement et leur dévouement constituent un exemple inspirant pour l’ensemble de la nation.

Ces citoyens exemplaires témoignent d’un attachement profond à la préservation de la souveraineté du Burkina Faso. Les panafricanistes félicitent chaleureusement ces fonctionnaires engagés et les encouragent à poursuivre leurs efforts pour la paix, la sécurité et le bien-être de la nation mère.

Les populations burkinabè sont invitées à redoubler d’efforts afin que les projets entrepris l’année précédente puissent être achevés en 2024. En effet, c’est ensemble que les pages de la nouvelle histoire du Burkina Faso seront écrites, et 2024 doit marquer la fin du terrorisme.

Les Burkinabè de divers horizons sont appelés à emboîter le pas des fonctionnaires en contribuant de diverses manières au soutien des Forces de Défense et de Sécurité ainsi qu’aux VDP dans la lutte contre le terrorisme au Faso.

Delphine Gbatissa

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