Certains individus burkinabè, se cachent dans l’ombre pour critiquer les efforts des autorités dans la lutte pour une paix durable, sans apporter aucune aide ni contribuer à cette lutte d’une manière ou d’une autre. Leur point fort, est de traiter le régime en place de tous les noms et d’occasionner les mouvements d’humeur.
Si les prédécesseurs du Capitaine Ibrahim Traoré, avaient mis en place les mêmes stratégies, le Burkina Faso n’allait pas se retrouver dans une situation d’insécurité. La Confédération générale du travail du Burkina, semble ignorer cette partie dans ses soi-disant revendications.
C’est facile de trouver de gros mots pour minimiser les réalisations des autorités compétentes, mais c’est difficile pour Moussa Diallo, de mobiliser ses militants pour soutenir le régime. Ou le secrétaire général de la Confédération générale du travail du Burkina n’est pas burkinabè ?
Pourquoi Moussa Diallo n’avait pas parlé de soulèvement populaire quand les attaques des terroristes persistaient au Burkina Faso et il a attendu après que le Capitaine Ibrahim Traoré et ses hommes ont eu le contrôle de la situation pour faire sa sortie ?
Moussa Diallo, doit comprendre que la manipulation du peuple n’est pas synonyme de la liberté. Le meeting annoncé par le CGT-B le 31 octobre prochain, n’est juste qu’une planification de certains leaders syndicaux et communion avec les hommes politiques burkinabè, pour troubler l’atmosphère de paix.
L’esprit de révolte du secrétaire général de la Confédération générale du travail du Burkina, Moussa Diallo ne serait-il pas en commun accord avec l’embuscade de ce 16 octobre ? La sortie de Moussa Diallo fait suite à l’attaque. En attendant plus de détails de notre correspondante depuis Ouagadougou, les populations burkinabè sont invitées à la vigilance.
Simliwa Nadia
