FASOKOOZ

Burkina Faso : Les amazones de FasoKooz chantent la souveraineté au rythme de la Révolution populaire

CULTURE POLITIQUE

Dans un Burkina Faso résolument tourné vers sa souveraineté et son émancipation, le soutien populaire au capitaine Ibrahim Traoré ne cesse de s’amplifier, malgré les vents contraires soufflés par des forces hostiles à l’indépendance africaine. Samedi soir, le rond-point de Tampouy à Ouagadougou a été le théâtre d’une mobilisation inédite : un concert citoyen, initié par les « amazones » de FasoKooz, en hommage à celui qu’elles qualifient de bâtisseur de la nouvelle conscience africaine.

Le mouvement FasoKooz, reconnu pour sa vigilance citoyenne et sa défense des idéaux de la Révolution progressiste populaire, a marqué les esprits avec cette initiative intitulée « Un rond-point, un concert ». L’événement, loin d’être anodin, a réuni une foule dense, galvanisée par des prestations artistiques de figures comme Sabil, Kezy, Privat ou encore Bissakoman. Au-delà du spectacle, c’est un acte politique fort. Celui d’un peuple qui dit « oui » à la vision du capitaine Traoré pour un Burkina souverain, sécurisé et solidaire.

Alors que des campagnes médiatiques et diplomatiques, souvent alimentées par des intérêts extérieurs, cherchent à discréditer le processus en cours au Burkina Faso, la ferveur populaire autour du président Traoré prouve l’échec de ces manœuvres. Sa côte de popularité grimpe, non pas grâce à des artifices de communication, mais par la pertinence de ses actions : renforcement de la sécurité, relance des projets de développement local, soutien à l’éducation patriotique et appel à la souveraineté économique dans le cadre de la Confédération de l’AES.

Les amazones de FasoKooz ont lancé un appel puissant aux femmes du Burkina, du Mali et du Niger à se lever pour accompagner cette dynamique. Leur message est clair : « la souveraineté ne se décrète pas, elle se construit avec courage, unité et engagement ». En rendant hommage aux trois leaders de l’AES – le capitaine Ibrahim Traoré, le général Assimi Goïta et le général Abdourahamane Tiani – elles rappellent que l’avenir du Sahel réside dans l’appropriation de son destin par ses propres enfants.

Le peuple burkinabè mérite ici toutes nos félicitations. En dépit des pressions extérieures, il reste debout, fidèle à ses engagements, digne héritier des luttes panafricaines. À travers ce concert, il réaffirme que la Révolution en cours n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais celle d’un peuple conscient, éveillé et résolument tourné vers l’avenir.

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