La magistrature suprême du Burkina Faso est désormais occupée par un patriote, qui se présente aujourd’hui aux yeux des africains comme un modèle en matière de gestion des affaires publiques et de la gouvernance. Malgré le contexte difficile dans lequel se trouvait le pays à son arrivée au pouvoir, lié à la crise sécuritaire et à des tensions communautaires, il a su concilier les actions dans divers domaines jugés prioritaires par l’équipe de la transition qu’il dirige.
Sur le plan de la sécurité et de la défense, domaine primordial de tous les burkinabè, le chef de l’Etat a transformé structurellement les ressources existentielles, notamment l’effectif insuffisant des unités combattantes et le manque du matériel. Il s’est donc engagé, avec le soutien de la population, dans l’acquisition du matériel adéquat pour la guerre, grâce aussi à des partenaires stratégiques, fiables et diversifiés.
Le renforcement des capacités opérationnelles des forces combattantes à travers des formations spécialisées et l’augmentation de leurs effectifs par des recrutements, sans oublier la création des supplétifs (Volontaires pour la Défense de la Patrie), l’augmentation de l’efficacité du service de renseignements, ainsi que des mécanismes pour l’amélioration des conditions de vie des combattants, sont des actions salutaires qui ont joué en faveur de la lutte contre le terrorisme.
Aujourd’hui, les résultats sur le terrain sont palpables, avec plusieurs terroristes et leurs bases neutralisés, ces criminels n’exhibent plus leurs victoires, plusieurs espaces récupérés et des personnes déplacées internes réinstallées au nombre de 191 937 dans leurs différentes localités, selon les informations officielles rendues publiques en date du 31 Août 2023.
Au plan diplomatique, l’autre domaine important pour la transition au Burkina Faso, le chef de l’Etat Ibrahim TRAORE en a fait son cheval de bataille, afin d’atteindre son objectif crucial, celui de garantir la souveraineté de son pays. Comme actions concrètes, l’on note la rupture totale avec des anciens accords militaires qui retardaient la lutte contre le terrorisme et faisaient obstacle à un développement effectif.
Avec l’ancienne ministre des affaires étrangères, Mme Olivia Rouamba, l’Etat burkinabè a renforcé et multiplié ses relations de coopération avec des pays qui ont accepté la nouvelle dynamique de coopération créée par le capitaine Ibrahim TRAORE en tenant compte des besoins et des aspirations du peuple burkinabè.
Dans le domaine économique, poumon de la survie du pays, le président du Faso et son équipe de la transition se sont évertués à booster divers secteurs économiques autrefois banalisés soi-disant au profit de la sécurité. En exemple, la nationalisation de plusieurs entreprises et sociétés minières, la promotion de l’industrialisation avec la création d’une usine de transformation locale de tomates à Bobo-Dioulasso.
L’entrepreneuriat communautaire par actionnariat populaire, pour le développement endogène et inclusif est l’une des initiatives présidentielles permettant de booster l’économie nationale et d’inciter les burkinabè à entreprendre. Même stratégie développée dans le secteur de l’Agriculture avec le programme agropastoral suivi d’un programme d’appui significatif de l’Etat aux producteurs.
Ce n’est pas tout la transition du capitaine Ibrahim TRAORE s’est investi dans la création d’une société d’économie mixte pour confectionner des tenues militaires et paramilitaires, valorisant ainsi le coton local. Elle a également favorisé le démarrage des activités de Golden Hand, une usine de traitement des résidus miniers, et mis en place une raffinerie d’or.
Dans le domaine de la Santé et des Infrastructures, le conseil des ministres a donné récemment son feu vert pour l’initiative présidentielle pour la santé, qui prévoie une transformation radicale du secteur, afin d’offrir à chaque burkinabè, un service de soins de qualités et accessibles.
Cette action a été suivi de la réception il y a quelques jours, de quinze (15) cliniques mobiles, des équipements de la chaîne de froid, de bureau, de la logistique roulante pour l’amélioration de l’offre de soins de santé. Des infrastructures routières et sociales de base ont été également réhabilitées ou réalisées au bénéfice de la population burkinabè.
Il faut souligner que le président du Faso s’est fermement engagé aussi dans la lutte contre la corruption et autres mauvais comportements au sein de l’administration publique, afin de l’assainir et de l’amener à répondre efficacement aux besoins du peuple. Pour le chef de l’Etat, une lutte efficace contre le terrorisme passe aussi par un développement socioéconomique du pays.
Son ambition pour les 10 prochaines années, il l’a d’ailleurs exprimé à plusieurs reprises, c’est de faire du Burkina Faso un eldorado, le pays où les jeunes viennent de partout à travers le monde, chercher leur mieux être.
David Gozo
