Il ressort des révélations faites le lundi 23 septembre par les autorités burkinabè, que des citoyens burkinabè résident en Centrafrique dans le cadre de leur travail pour le système des Nations Unies, sont impliqués dans un grand complot contre la sureté de l’Etat burkinabè. En complicité avec d’autres burkinabè exilés, ils planifient aussi avec l’appui des puissances étrangères et les terroristes, des attaques contre la population au Burkina Faso.
A cette étape de la situation, l’Organisation des Nations Unies pour laquelle ces burkinabè travaillent est soupçonnée de complicité étant donné que les responsables sont sensés connaître les faits et gestes de leurs collaborateurs, où qu’ils se trouvent. Pire encore, il s’avère que le colonel ZALLA, l’un des agents de l’ONU en Centrafrique avait promis même l’intervention des casques bleus au Faso en guise de renfort, en cas besoin, visant à renverser le régime burkinabè.
Selon d’autres opinions, ces personnes seraient juste des pions de cette Organisation internationale qui les utilise pour atteindre ses objectifs dans certains pays en Afrique à l’instar de la Centrafrique, qui peine malgré l’appui déguisé de l’ONU, à relever les défis et restaurer la stabilité. Raison pour laquelle selon des opinions, ces personnes mal intentionnées sont toujours maintenues dans leurs postes depuis plusieurs années déjà, dans cette organisation onusienne.
Alors, des voix s’élèvent depuis mardi 24 septembre, pour réclamer l’extradition de ces burkinabè qui se plaisent à créer de l’insécurité dans des pays. Pour certaines opinions, les autorités centrafricaines doivent être compréhensives vu qu’elles ont les mêmes défis sécuritaires à relever. Elles doivent soutenir les pays frères notamment le Burkina Faso, en livrant ceux qui, depuis le sol centrafricain, complotent contre leurs pays d’origine.
Il va de même pour tous les pays qui hébergent des réfugiés dangereux et méchants issus des pays de l’AES et qui, au lieu de profiter tranquillement de leur stabilité, cherchent à nuire à leurs compatriotes restés au pays.
Salim Diakite
