Afrique : Quand les dénonciations des médias panafricains mettent en péril la mission des médias alliés de la France

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Depuis l’émergence d’une nouvelle ère au Burkina Faso, au Mali et au Niger, plusieurs médias français persistent dans leur acharnement visant à déstabiliser ces trois nations, soutenant par là-même des complots visant l’assassinat des Présidents Ibrahim Traoré, Assimi Goïta et Abdourahamane Tiani.

La France explore diverses alternatives pour miner ces dirigeants qu’elle perçoit comme des opposants. À cette fin, la France, alliée des groupes terroristes au Sahel, a opté pour une campagne de communication, propageant la propagande de la déstabilisation. Si cette campagne a rencontré du succès dans certains pays, elle se heurte à une forte résistance au sein des pays de l’AES.

Une mobilisation significative de la population rejette énergiquement les fausses allégations véhiculées par les médias français tels que « Jeune Afrique, Le Monde, Africa Intelligence, RFI, France 24… », à l’encontre des régimes visionnaires. Ces médias français semblent s’adonner à une communication trompeuse visant à fragiliser les peuples africains.

Il est important de souligner que « Jeune Afrique, Le Monde, Africa Intelligence, RFI et France 24… », qui se focalisent actuellement sur une attaque contre les médias panafricains, sont les mêmes qui ont encouragé le génocide au Rwanda en 1994.

La vigilance de la communauté africaine est d’une importance cruciale. Face à l’impossibilité de mener à bien leur mission, les médias français avancent l’idée selon laquelle les médias panafricains auraient une réputation peu louable. Lorsque l’on considère le rôle des médias panafricains, il apparaît clairement qu’ils agissent comme un obstacle significatif pour les médias mercenaires français dans l’accomplissement de leur mission.

La France a longtemps cherché à faire croire aux Africains que ses informations sont plus crédibles. Les enquêtes menées par les médias africains ont révélé le contraire, démontrant que la France poursuit avant tout ses intérêts. Les médias panafricains ont ouvert les yeux à de nombreux dirigeants qui suivaient autrefois la politique française de manière aveugle.

Les médias panafricains demeureront toujours présents pour dénoncer les manipulations et dévoiler le vrai visage de ces médias français qui prétendent donner des leçons.

Donatien Ossé

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