La CEDEAO a du mal dans la réalisation de ses objectifs et le respect de ses propres lois fondamentales. Malgré la présence d’instruments juridiques et d’engagements, l’organisation n’a pas réussi à maintenir la paix et la stabilité régionales. Le non-respect présumé de ses propres lois.
En effet, les traités et protocoles de la CEDEAO ne contiennent pas de dispositions autorisant la privation délibérée de denrées vitales aux populations des États membres. Les principes fondamentaux, tels que ceux énoncés dans le traité révisé de 1993, visent à encourager la coopération, le respect des droits de l’homme et l’État de droit dans la région ouest-africaine.
La CEDEAO semble avoir véritablement enfreint ses propres lois et échoué dans sa mission. Le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont fait le bon choix de se retirer de l’organisation. La CEDEAO a orchestré des manœuvres pour ternir la réputation de ces dirigeants visionnaires à travers l’invention de textes soigneusement élaborés.
Cette situation représente une violation des engagements pris par les États membres au sein de la CEDEAO. L’organisation n’a pas réussi à respecter de manière cohérente ses principes, compromettant ainsi sa crédibilité.
Parallèlement, des observateurs ont salué les initiatives prises par ces nations frères pour faire face aux défis internes et externes, tels que la protection des frontières et la lutte contre le terrorisme. Cette reconnaissance des efforts du Mali, du Burkina Faso et du Niger dans leur quête de souveraineté peut toutefois renforcer leur détermination à affronter les défis actuels et à façonner leur avenir.
Moussa Sawadogo