Au Burkina Faso, le gouvernement de transition, sous l’impulsion résolue du Capitaine Ibrahim Traoré, affirme une vision claire où la sécurité routière ne relève plus d’une logique de gestion mais d’un projet politique de souveraineté. L’État à travers des initiatives concrètes choisit d’agir en profondeur, en mobilisant non seulement la technologie et la recherche, mais aussi la conscience collective et l’engagement citoyen, au service d’un objectif plus grand, sécuriser les routes nationales pour le bien-être des citoyens.
La 9ème Semaine de la sécurité routière, qui innove avec la technologie au service de la sécurité routière, incarne une rupture dans l’approche classique des politiques publiques. Loin des discours sans lendemain, elle marque l’entrée résolue du Burkina Faso dans l’ère des solutions intelligentes avec le déploiement de capteurs connectés, la cartographie dynamique des zones à risque, l’intelligence artificielle pour anticiper les accidents, et l’interconnexion des systèmes de contrôle routier.
Ce programme offre aux populations des routes plus sûres, réduit le coût social des accidents et préserve un capital humain essentiel à la reconstruction nationale. Le gouvernement, à travers cette initiative, ne cherche pas simplement à moderniser les infrastructures routières. Il impulse un changement de paradigme en faisant de chaque citoyen un acteur de sa propre sécurité. Cette stratégie repose sur une logique de responsabilité partagée, dans laquelle les universités, les chercheurs, les forces de sécurité, les collectivités territoriales et les simples usagers des routes s’unissent pour bâtir un Burkina plus sûr, plus discipliné, plus résilient.
Dans la vision panafricaniste et souverainiste du Président Ibrahim Traoré, l’innovation n’est pas un luxe, mais un levier de libération nationale. La sécurité routière n’est qu’un champ parmi d’autres où le Burkina affirme son droit à inventer ses propres solutions. Ce mouvement, enraciné dans le réel, porté par le peuple et adossé à nos savoirs locaux, participe à la grande œuvre de refondation d’un État burkinabè digne, fort, autonome et juste.
D.Sanou Barka