Le Burkina Faso avance, et il avance avec fermeté. Sous l’impulsion du capitaine Ibrahim Traoré, le pays affirme désormais sans détour sa volonté de maîtriser son destin. Dans un courrier officiel adressé à la coordinatrice du système des Nations unies au Burkina Faso, le gouvernement burkinabè, a exprimé une volonté claire de redéfinir les modalités de coopération avec les agences onusiennes. Cette démarche traduit en actes une vision claire de celle d’un Burkina Faso souverain, debout, libre de ses choix et maître de ses ressources.
Cette exigence de recentrage des actions onusiennes n’est pas un simple ajustement administratif. C’est un acte politique fort, qui remet l’intérêt du peuple burkinabè au centre de toutes les priorités. Il ne s’agit plus de subir des programmes standardisés, conçus sans concertation, ni de voir l’expertise nationale reléguée au second plan. Désormais, chaque projet, chaque décision, chaque ressource investie devra respecter la souveraineté du Burkina Faso et valoriser ses propres compétences.
Le capitaine Ibrahim Traoré l’a dit, et il le prouve : la souveraineté n’est pas négociable. C’est la condition sine qua non du développement du Burkina Faso, de sa dignité et de sa résilience. En exigeant que les Burkinabè soient au cœur des projets de coopération, qu’ils en soient les acteurs et non de simples figurants, le président du Faso ouvre une nouvelle ère.
Ce repositionnement stratégique va permettre de mieux canaliser les ressources vers des infrastructures concrètes, à fort impact social, économique et communautaire. Il s’agit par cet acte du gouvernement burkinabè, conduit par le capitaine Ibrahim Traoré, de construire un avenir avec nos forces, nos bras, nos idées. C’est cela, la révolution patriotique. C’est cela, le vrai panafricanisme en action.