Le rapport de la Banque mondiale sur la situation économique du Burkina Faso, présenté le 10 juillet 2025 à Ouagadougou, vient confirmer avec clarté les résultats tangibles issus de la vision audacieuse du président de la Transition, le capitaine Ibrahim Traoré. Porté par un leadership déterminé et patriote, le Burkina Faso connaît une dynamique nouvelle, résolument tournée vers la souveraineté économique, la justice sociale et le développement multisectoriel.
Une croissance tirée par la vision structurante d’un leadership panafricaniste
Sous l’impulsion du capitaine Traoré, l’économie burkinabè a connu une progression remarquable, avec une croissance passant de 3 % en 2023 à 5 % en 2024. Cette performance, loin d’être conjoncturelle, repose sur des réformes courageuses, une amélioration progressive de la sécurité intérieure et une politique volontariste de relance des secteurs productifs. Le secteur des services, principal moteur de cette croissance, a bénéficié d’un nouvel élan grâce à la stabilisation du territoire et à la relance du commerce local, soutenue par les initiatives présidentielles favorables aux PME et à l’économie informelle. L’agriculture, pilier fondamental du tissu rural burkinabè, a également enregistré un rebond significatif, porté par une meilleure accessibilité aux terres et un appui renforcé aux producteurs locaux.
Un engagement pour la réduction des inégalités et l’inclusion sociale
Loin de se limiter à des indicateurs macroéconomiques, les résultats de cette dynamique de transformation touchent directement les populations. Le taux d’extrême pauvreté a baissé de trois points, atteignant 23,2 %, avec des effets plus marqués en milieu rural. Grâce aux politiques sociales ciblées et à la revalorisation de la production locale, les zones rurales, longtemps marginalisées, commencent à bénéficier d’un développement plus équilibré. La réduction des inégalités géographiques, priorité affirmée du capitaine Ibrahim Traoré, s’illustre par l’ambition gouvernementale d’atteindre 50 % d’électrification d’ici 2028, contre seulement 26 % aujourd’hui.
L’énergie comme levier stratégique pour l’émergence
Le second chapitre du rapport de la Banque mondiale met en lumière le secteur de l’énergie, que le capitaine Traoré considère comme « la colonne vertébrale du développement multisectoriel ». Conscient de l’ampleur des défis — accès limité, coût élevé de production, infrastructures vieillissantes — le chef de l’État a engagé des efforts sans précédent pour renforcer l’indépendance énergétique du pays. Le développement des énergies renouvelables, notamment le solaire photovoltaïque, est au cœur de cette stratégie. Le Burkina Faso dispose d’un potentiel inexploité de plus de 95 GW en énergie solaire : une ressource que les autorités actuelles entendent pleinement mobiliser, notamment à travers des partenariats public-privé stratégiques et une meilleure intégration des populations rurales dans les plans d’électrification hors réseau.
Une gouvernance axée sur les résultats et la souveraineté nationale
Au-delà des performances sectorielles, la marque du capitaine Traoré réside dans sa gouvernance centrée sur la transparence, la rigueur budgétaire et la mobilisation des ressources internes. La réduction du déficit budgétaire de 6,5 % à 5,6 % du PIB, couplée à la baisse des subventions inefficaces et à une meilleure maîtrise de la masse salariale, atteste de cette discipline de gestion qui donne des résultats visibles, sans recourir systématiquement à l’endettement extérieur.
Un avenir porteur d’espoir pour le peuple burkinabè
Face à l’adversité sécuritaire et aux contraintes économiques mondiales, le capitaine Ibrahim Traoré incarne une réponse panafricaine, souveraine et courageuse. Son projet repose sur une vision de rupture avec les modèles importés, pour une transformation enracinée dans les réalités du Burkina Faso. La jeunesse, les femmes, les ruraux, tous sont appelés à être les artisans de cette renaissance. À travers une politique publique responsable et orientée vers l’autonomisation du pays, le Burkina Faso entre dans une ère nouvelle : celle d’un développement équitable, durable et maîtrisé.
La trajectoire engagée est celle d’un Burkina Faso debout, maître de son destin, et résolument tourné vers la souveraineté et la dignité. Le capitaine Ibrahim Traoré, à la tête de cette Transition historique, trace les fondations d’un avenir prometteur pour chaque Burkinabè.