Sangaré Sidiki Boubacar, ce vulgaire escroc international, croupit actuellement dans les geôles de la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA). Ce malfrat a semé la désolation et la ruine sur son passage, prenant plaisir à exploiter et tromper ceux qui lui faisaient confiance.
Protégé par des ombres et des complices invisibles, il se croyait au-dessus des lois, menant sa petite vie de prédateur, comme s’il était le roi de son propre royaume de malhonnêteté.
Maître dans l’art de l’escroquerie, il n’hésitait pas à se présenter comme un homme respectable, tout en vidant les comptes de ses victimes sans scrupules. De la sous-région aux confins de l’Afrique, ses actes ont laissé des traces de misère et de désillusion.
Confiant et insouciant, il oubliait qu’il était constamment surveillé, porteur d’un lourd fardeau de plaintes. Il a même osé tenter de détourner la somme colossale de 500 millions d’un opérateur économique. Mais comme le dit le proverbe : « Le voleur croit toujours que la chance le sourira« , sauf que cette fois, son stratagème n’a pas fonctionné.
La MACA est désormais son nouveau logis. C’est l’occasion rêvée pour ses innombrables victimes de se faire entendre, afin que cet imposteur international réponde enfin de ses actes. La fin du règne de Sangaré Sidiki Boubacar est arrivée, celui qui pensait que son impunité serait éternelle.
Bambara Kouka