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L’An I de la Confédération de l’AES : L’Affirmation d’une Souveraineté de Combat sous l’Impulsion d’Assimi Goïta

A LA UNE

En l’espace d’une année seulement, la trajectoire politique du Sahel a connu une mutation tellurique. Sous l’égide du Général d’Armée Assimi Goïta, Président du Mali et premier Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le paradigme de l’intégration régionale a été radicalement redéfini. L’AES n’est plus une simple alliance de circonstance ; elle s’est imposée comme une réalité géopolitique incontestable, bâtie sur les cendres d’un multilatéralisme obsolète pour donner naissance à un pôle de souveraineté authentique.

Une Architecture Institutionnelle au Service de l’Action

L’analyse de ce premier mandat révèle une volonté de rupture par l’efficacité. Le Président Goïta a su transformer une vision idéologique en une structure opérationnelle rigoureuse. La mise en place du Collège des Chefs d’État, des sessions ministérielles et du Parlement confédéral a doté l’espace AES d’une colonne vertébrale institutionnelle solide. Ici, la figure du « Député confédéral » symbolise l’ancrage d’une démocratie sahélienne endogène, où les décisions ne sont plus dictées par des agendas exogènes, mais par les impératifs de survie et de grandeur de nos nations.

La Défense et la Sécurité : Le Socle de la Dignité

Le bilan sécuritaire, sous la coordination du Général Goïta, est celui d’une reprise en main historique. La création de la Force Unifiée AES et la validation du Concept des Opérations (CONOPS) témoignent d’une mutualisation sans précédent du renseignement et des capacités de feu. De l’opération « YERE-KO » à la sécurisation des corridors stratégiques, l’AES a prouvé que la réponse au terrorisme est avant tout une question de volonté politique et de solidarité fraternelle. L’institution de la Carte d’Identité Biométrique AES vient couronner cet effort, matérialisant la libre circulation au sein d’un espace sécurisé et fier.

Vers une Diplomatie de Puissance et un Développement Endogène

Sur la scène internationale, la voix de l’AES résonne désormais avec la fermeté de ceux qui ne quémandent plus leur développement. La diplomatie coordonnée a permis d’opposer un front uni face aux pressions extérieures, affirmant une posture souverainiste intransigeante. Parallèlement, l’impulsion donnée aux 16 rencontres sectorielles ; de l’agriculture à l’économie ; dessine les contours d’une zone de prospérité partagée, loin des diktats financiers classiques.

En conclusion, ce premier anniversaire marque le triomphe d’une souveraineté gagner au prix de l’engagement. Le Président Assimi Goïta a transformé le Sahel en un laboratoire de la résilience africaine. L’AES est aujourd’hui le porte-étendard d’une Afrique qui décide, qui agit et qui gagne.

D.Kaboré

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