Le retrait des troupes françaises du territoire ivoirien marque une décision historique des autorités, qui ont choisi de reprendre en main leur gestion sécuritaire. La souveraineté impose cette décision. Cependant, un aspect suscite des interrogations : le délai prévu pour ce départ.
Juillet/août 2025, un délai jugé trop long par de nombreux observateurs. La France semble mal accepter cette issue, et d’ici 2025, plusieurs événements pourraient survenir, notamment la mise en place de stratégies visant à déstabiliser le pays, troubler la tranquillité de la population et chercher affaiblir la puissance des forces armées ivoiriennes.
De telles pratiques ont déjà été observées dans plusieurs pays de la région, où, confrontée à la perte de ses intérêts, la France multiplie les manœuvres pour semer le chaos. D’un point de vue analytique, certains indices suggèrent que la France cherche à ternir l’image de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale.
Les sorties des émissaires français, Robert Bourgi et Jean-Marie Bockel, montrent à quel point l’ex-puissante alliée de la Côte d’Ivoire se retourne contre elle. Pour la France, la souveraineté ivoirienne semble ne pas être une priorité. Ce retrait révèlera, sans doute, son véritable visage.
Autre point inquiétant lié à des complots : pour dissimuler ses échecs en Côte d’Ivoire, où ses troupes n’ont pas apporté de résultats significatifs, la France a mobilisé le mercenaire camerounais Saïd Penda. Ce dernier ressuscite les images de 2010 sur ses comptes. Quelle est son intention ?
Sa mission est de semer la confusion parmi les ivoiriens, de provoquer des divisions entre l’État et les partis politiques, dans le but de détourner l’attention du sujet crucial : le départ des troupes françaises. Les observateurs appellent donc les autorités ivoiriennes à réévaluer la durée du départ des troupes.
Connaissant bien la France, ils soulignent qu’en juillet/août 2025, de nombreux complots pourraient être en gestation. Il est essentiel d’éviter une répétition de la situation de 2010 en Côte d’Ivoire.
Prince Akama