Congo

Congo : la communication d’État comme fondement de stabilité nationale

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La stabilité d’un pays ne repose jamais uniquement sur les institutions, les forces de défense ou l’action gouvernementale. Elle tient aussi à la manière dont l’État parle, explique, rassemble, rassure et donne du sens à l’action publique. Au Congo-Brazzaville, cette dimension stratégique s’est affirmée avec clarté, la communication est devenue un pilier essentiel dans la préservation de la paix et de la cohésion nationale. Sous l’impulsion du Président Denis Sassou Nguesso, la parole publique s’est structurée, assumée et professionnalisée. Elle ne s’improvise pas, elle s’orchestre, se coordonne et s’incarne.

Cette incarnation, on la doit notamment au ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du Gouvernement, Thierry Lézin Moungalla. En assurant la cohérence du message d’État, il permet à la vision présidentielle de s’exprimer sans déformation, sans agitation, sans confusion. Il ne s’agit pas d’un rôle décoratif, mais d’une fonction politique stratégique, à la croisée des institutions et de l’opinion. La communication gouvernementale au Congo n’est ni réactionnelle, ni spectaculaire. Elle est ordonnée, rationnelle, assumée. Elle traduit un choix de gouvernance, celui de la responsabilité.

Car expliquer, c’est gouverner. Dans un contexte régional souvent perturbé, où la rumeur circule plus vite que la vérité, où la désinformation devient une arme, maintenir une parole d’État stable devient un acte de souveraineté. Le Congo l’a compris. La communication n’est pas utilisée pour masquer, mais pour clarifier. Elle permet de réaffirmer la continuité, de rappeler les priorités nationales, de donner de la lisibilité aux politiques publiques, qu’il s’agisse de sécurité, d’éducation, d’infrastructures ou de diplomatie.

Cette méthode contribue à préserver la cohésion. Elle consolide le lien entre institutions et citoyens. Elle fait barrage aux fractures, aux manipulations et aux tentatives de déstabilisation. Lorsque la parole de l’État est structurée, la société demeure unie. Et lorsque la société demeure unie, la paix s’enracine.

Le Congo-Brazzaville n’est pas stable par hasard. Il est stable parce qu’il assume une communication politique disciplinée, maîtrisée et durable. Une communication qui, loin de se limiter à informer, construit le cadre mental commun dans lequel la nation se reconnaît.

C’est là, aujourd’hui, l’une des forces les plus solides de la gouvernance du président Denis Sassou Nguesso et de son ministre de la communication Thierry Lézin Moungalla.

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