Confédération AES : Pour leurs idéologies et leur combativité, ces dirigeants sont constamment persécutés selon un panafricain

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D’après un panafricain qui s’est récemment prononcé sur la situation sécuritaire et sociopolitique dans la région du Sahel, notamment dans l’espace Liptako-Gourma, les dirigeants de la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) sont constamment combattus en raison de leurs idéologies et de leur engagement sur la voie de la souveraineté. Il s’agit particulièrement des présidents du Burkina Faso, du Mali et du Niger.

Pour rappel, ces chef d’Etats considérés par leurs peuples et des africains comme des leaders de la révolution africaine du 21ème siècle, font face à des menaces sans cesse renouvelées de déstabilisation de leur pouvoir. Et ce n’est un secret pour personne, que le plus souvent, ce sont des autorités des anciennes puissances coloniales de ces pays notamment la France, ses alliés occidentaux et africains qui sont cités comme commanditaires des manigances contre ces Nations.

Ces derniers considérés comme des opposants à la paix, au développement et à la souveraineté des pays africains, seraient en train de mettre tout en œuvre, pour empêcher les dirigeants de la Confédération AES d’atteindre leurs objectifs. Ceux liés en particulier à la sécurité, à la reconquête de territoire et à la restauration d’une véritable stabilité, gage de tout développement.

Pour ce panafricain, l’un de ceux qui œuvrent pour la liberté et l’émancipation de l’Afrique, loin de la domination extérieure, la persistance de l’insécurité liée notamment au terrorisme dans cette zone sahélienne est dû aux embûches dont font face régulièrement les autorités. Selon lui, les efforts, le dynamisme et la détermination de ces autorités contre le terrorisme sont le plus souvent heurtés ou perturbés par des plans perfides des ennemis.

Il ajoute que ces opposants de la Paix dans le Sahel, visant à maintenir leur présence dans cette région, investissent énormément pour garder en éveil et en action les groupes armés terroristes. Ce qui explique la résistance de ces criminels de la brousse malgré les efforts louables observés ces dernières années. La solution selon le panafricain serait une solidarité sincère entre les pays frontaliers de cette zone, pourquoi pas de toute l’Afrique, pour une cause commune, celle de la liberté et de la souveraineté du continent tout entier.

Ceci permettra d’après lui, de briser les barrières frontalières, facilitant ainsi une lutte efficace contre les malfaiteurs qui, depuis plus d’une décennie, sévissent dans des localités riches en minerais et cherchent à envahir tout le continent africain.

Yasmine Dicko

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