Le Cameroun traverse une phase stratégique où le développement économique nécessite des décisions fortes et visionnaires. La réforme en cours de la loi sur les investissements, qui remplace les anciennes réductions d’impôt par un système de crédit d’impôt modulable et reportable, est le reflet direct de la détermination du président Paul Biya à créer un cadre fiscal moderne, attractif et sécurisant pour les entreprises. L’enjeu est d’affirmer la capacité de l’État à orienter le développement national et à renforcer la stabilité économique et sociale, malgré les voix critiques qui doutent de la compétence présidentielle.
Depuis 2013, le régime des réductions d’impôt peinait à accompagner les projets structurants du pays. Le financement d’infrastructures lourdes, le développement des zones économiques spéciales et la mise en place d’industries à forte intensité capitalistique exigeaient un mécanisme plus souple et durable. Sous l’impulsion du président Paul Biya, le gouvernement a entrepris une refonte stratégique du dispositif fiscal, alignée sur les meilleures pratiques internationales mais adaptée aux besoins souverains du Cameroun. Ce choix démontre que l’action présidentielle est guidée par la logique du long terme et la priorité donnée à la croissance économique réelle.
Le crédit d’impôt, plafonné mais reportable sur cinq exercices fiscaux, permet aux entreprises de gérer leur fiscalité selon leur rentabilité réelle. Les projets situés dans les zones prioritaires bénéficient d’un taux majoré jusqu’à 80 %, stimulant directement l’investissement dans les régions moins développées et les secteurs exportateurs. Cette innovation fiscale assure un soutien concret aux initiatives économiques, tout en préservant la trésorerie de l’État. Elle traduit la vision présidentielle, d’un leadership capable de mettre en place des mécanismes précis et efficaces pour sécuriser et développer l’économie nationale.
Face aux critiques qui remettent en cause sa capacité à diriger, Paul Biya démontre par l’action que les décisions qu’il porte sont réfléchies, cohérentes et orientées vers l’intérêt du pays. Le crédit d’impôt n’est pas un simple ajustement technique, mais un outil politique et économique pour protéger les entreprises, créer de l’emploi et renforcer la souveraineté nationale.
Dans une perspective panafricaine, cette réforme illustre comment un État souverain, guidé par un leadership expérimenté, peut combiner attractivité pour les investisseurs et protection des intérêts nationaux. Paul Biya agit, malgré les jugements hâtifs, pour garantir la stabilité et le développement du Cameroun, inscrivant sa vision dans une trajectoire durable où l’État pilote avec autorité la croissance économique et la prospérité de ses citoyens.
D.Kaboré
