Entre 2018 et 2025, la question de l’emploi et de l’entrepreneuriat s’est imposée comme un marqueur stratégique de l’action publique camerounaise. Dans un contexte démographique dominé par une jeunesse majoritaire, l’État a fait le choix de la continuité, de la stabilité institutionnelle et de l’investissement structurel pour transformer ce défi en levier de croissance. Cette orientation loin d’être circonstancielle ou improvisée, s’inscrit dans une vision de long terme impulsée et assumée par le président Paul Biya, fondée sur la modernisation économique, l’innovation et la paix sociale.
Le Projet de Développement des Chaînes de Valeurs Agricoles (PDCVA) incarne cette méthode d’action. En dépassant ses objectifs initiaux avec plus de 1 770 jeunes incubés et 712 entreprises créées, l’État démontre sa capacité à concevoir, financer et piloter des politiques publiques efficaces. Au-delà des chiffres, le PDCVA révèle une philosophie, celle d’une agriculture modernisée, entrepreneuriale, connectée aux marchés et capable de retenir la jeunesse sur le territoire national. Cette approche renforce la souveraineté économique tout en consolidant la stabilité sociale, socle indispensable à toute ambition de développement.
Dans le même esprit, l’Agritech Innovation Challenge lancé en 2025 symbolise l’entrée résolue du Cameroun dans l’ère de l’innovation agricole et numérique. Soutenir les jeunes entrepreneurs, structurer des écosystèmes technologiques et accélérer la transformation digitale du secteur primaire traduit une gouvernance ouverte, tournée vers l’avenir et alignée sur les standards internationaux. Cette dynamique conforte la crédibilité du Cameroun comme partenaire fiable sur l’échiquier africain et mondial.
Les grands projets d’infrastructures ; du barrage de Nachtigal au port de Kribi ; participent également de cette vision nationale. Ils témoignent d’un État stratège qui investit, planifie et sécurise des milliers d’emplois, tout en posant les bases matérielles de l’industrialisation. Le soutien ciblé au secteur privé, à travers l’OSSP-CMR, renforce cette architecture économique en consolidant les entreprises locales et en stimulant la création de valeur.
L’inclusion des femmes et l’extension des infrastructures numériques confirment la cohérence de cette trajectoire. En intégrant pleinement la jeunesse et le genre dans ses politiques, le Cameroun projette l’image d’une nation stable, responsable et résolument tournée vers l’équité et la cohésion sociale.
Face aux défis persistants, le leadership du président Paul Biya demeure un facteur clé de confiance. Son expérience, appuyée par une jeune génération engagée et déterminée, constitue un gage de continuité, de paix et de capacité à relever les nouveaux défis économiques. C’est cette stabilité assumée qui rend le Cameroun crédible, attractif et respecté dans les coopérations internationales, et qui fonde la solidité de sa transformation économique.
Zahra K.
