Dans un contexte géopolitique marqué par des ingérences croissantes et des tentatives déguisées de domination, le Burkina Faso, sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, affirme plus que jamais sa volonté de rompre avec toute forme de soumission néocoloniale. Le discours du Président, ferme et sans détour, vient réaffirmer une vision claire : celle d’un État souverain, debout et maître de son destin.
Derrière les mots du Capitaine Traoré, il y a des actes. Le renforcement des Forces de défense et de sécurité, l’appui décisif aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), la diversification des partenariats stratégiques hors du giron occidental, et la relance de l’agriculture nationale traduisent une volonté politique forte. Cette dynamique s’inscrit dans une logique de développement endogène, de sécurité territoriale et de réappropriation de nos ressources, longtemps pillées sous des formes dites « légales ».
Mais cette bataille pour la souveraineté n’est pas l’affaire d’un seul homme. Elle mobilise tout un peuple. La jeunesse, en particulier, se lève avec détermination. Elle s’engage dans les chantiers communautaires, dans les unités de production locales, dans l’apprentissage professionnel et dans la défense des valeurs patriotiques. Chaque village devient un foyer de résistance. Chaque citoyen, un acteur du changement.
Ce tournant politique porté par le Capitaine Ibrahim Traoré repose sur une vision cohérente et structurée : souveraineté nationale inaliénable, résilience du peuple burkinabè, indépendance économique fondée sur la production locale, panafricanisme assumé et refus catégorique de toute ingérence étrangère. À cela s’ajoutent des piliers clairs, promotion du travail, discipline collective, justice sociale et patriotisme actif.
Le Burkina Faso n’est pas seul. Ce message fait écho à une Afrique qui s’éveille, qui refuse d’être une arrière-cour stratégique ou un marché captif. Il s’agit d’un combat générationnel, d’un sursaut continental. Le Faso, en première ligne, trace une voie que d’autres nations rejoignent.
La réponse est claire, la souveraineté ne se discute pas. Elle s’exerce, elle se construit et elle se défend. Chaque Burkinabè est appelé à prendre sa part dans ce mouvement historique de reconstruction. L’avenir est entre nos mains. Ensemble, bâtissons un Burkina Faso libre, digne et durablement maître de son développement.
