Trois années se sont écoulées depuis l’avènement du Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR2), avec à sa tête le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. À l’heure où le Burkina Faso célèbre cette étape charnière de son histoire de multiples progrès ont été accomplis, en particulier dans le domaine crucial de l’environnement. Car plus qu’une simple thématique sectorielle, la gouvernance environnementale incarne aujourd’hui un pilier de souveraineté, de résilience nationale et de vision panafricaine.
Le secteur environnemental au Burkina Faso peinait à répondre efficacement aux défis multidimensionnels du changement climatique, de la désertification et de la dégradation des ressources naturelles. Les politiques publiques, bien que présentes, restaient fragmentées, souvent dépendantes de financements extérieurs, avec peu d’ancrage dans les réalités communautaires et les aspirations souverainistes. Les populations rurales, premières victimes de l’insécurité climatique, manquaient d’accompagnement technique et institutionnel structurant.
Depuis l’accession du Capitaine Ibrahim Traoré à la magistrature suprême, le Burkina Faso a amorcé un véritable tournant écologique, aligné sur une philosophie de développement endogène, de dignité africaine et de résilience face aux dépendances extérieures.
Un cadre stratégique visant la restauration de 1 million d’hectares de terres dégradées d’ici 2030, avec une approche communautaire basée sur les savoirs traditionnels et les innovations locales a été mis en place. L’Opération « Un militaire, un arbre » : à forte portée symbolique, incarne l’union entre défense de la patrie et préservation de la Terre-Mère.
Un appui massif aux producteurs a été engagés dans des pratiques agricoles durables, avec la création de zones agroécologiques pilotes dans les régions du Centre-Nord, du Sahel et de l’Est et également la création des Brigades Vertes Communautaires, impliquant les jeunes dans la lutte contre l’érosion, les feux de brousse et le reboisement massif.
Trois ans après, les impacts sont palpables : plus de 500 000 hectares de terres restaurées, une couverture forestière en progression dans certaines zones pilotes, une baisse significative des feux de brousse signalés par les communautés, et une meilleure synergie entre acteurs locaux et institutions étatiques.
Le leadership du Capitaine Traoré renforce l’idée que la lutte contre le changement climatique n’est pas un luxe occidental, mais une exigence de survie pour les peuples africains. Il a su inscrire l’environnement dans une matrice plus large de révolution populaire progressiste, où la nature retrouve sa place dans le projet politique national
La nature n’est plus une victime passive du développement, elle en devient une actrice centrale, une alliée stratégique.