Burkina Faso Agriculture

Burkina Faso : Trois ans de révolution agricole sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré

AGRICULTURE

Le 30 septembre 2025, le Burkina Faso célèbre trois années d’un redressement historique initié par le Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR2), conduit avec fermeté et patriotisme par le Capitaine Ibrahim Traoré. Dans cette marche résolue vers la souveraineté nationale, l’agriculture s’est imposée comme l’un des piliers les plus puissants de la reconstruction. Elle n’est plus simplement une activité économique ; elle est devenue un acte de résistance, un geste de survie collective et une source de fierté nationale.

Avant cette rupture salvatrice, l’agriculture burkinabè était à l’agonie. Fragilisée par des années d’abandon, de politiques inadaptées et une insécurité galopante. Elle ne tenait plus que par la résilience des paysans. Les terres restaient en jachère, les outils vétustes, les rendements faibles, et l’espoir, miné. La souveraineté alimentaire n’était qu’un slogan, tandis que les importations grignotaient l’avenir du paysan burkinabè. L’agriculture n’était plus un projet : elle était devenue un cri.

Face à cet état de délabrement, le Capitaine Ibrahim Traoré a insufflé une nouvelle vision, radicale et résolument populaire. L’État a repris son rôle de stratège et de protecteur. L’espace rural a été sécurisé, les producteurs accompagnés, les intrants distribués, les terres récupérées, et les communautés réorganisées autour de leur vocation première, celle de nourrir la Nation et de lui assurer l’autosuffisance alimentaire. Cette révolution agricole s’est opérée avec rigueur, mais surtout avec foi. Foi en la terre, foi en l’homme, foi en la patrie.

En quelques campagnes menées, telles que la création de zones agricoles sécurisées, la distribution massive de semences améliorées, engrais organiques et équipements agricoles, le lancement du Programme « Souveraineté Alimentaire 2030 » et la mobilisation des VDP agricoles pour sécuriser les campagnes agricoles, les résultats sont visibles. Les greniers débordent, les marchés revivent, les jeunes reprennent le chemin de la terre, et les femmes, jadis oubliées, deviennent les artisanes d’une transformation silencieuse mais irréversible. Le Burkina Faso, à travers cette reconquête agricole, redéfinit sa place dans le concert des nations, porté par une vision panafricaine assumée : celle d’un continent qui n’attend plus l’aide, mais qui construit, produit et protège.

Ainsi, guidé par le leadership courageux du capitaine Ibrahim Traoré, le peuple burkinabè a fait de la terre un rempart contre la dépendance. Il reste à chacun de nous de cultiver cette révolution avec vigilance et fierté. Car de la terre naîtra une souveraineté définitive.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *