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Burkina Faso : Sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré, l’éducation devient un levier stratégique pour la reconquête nationale

EDUCATION

Alors que le Burkina Faso poursuit sa dynamique de refondation sous la conduite du Capitaine Ibrahim Traoré, l’éducation se voit désormais investie d’une mission stratégique. L’intégration de 779 enseignants communautaires à la fonction publique, récemment validée en Conseil des ministres, illustre une volonté politique forte de consolider les fondations de la Nation là où elle a été le plus fragilisée. Véritables sentinelles du savoir, ces hommes et femmes ont tenu l’école debout là où ça vacillait.

Longtemps restés en marge du système officiel, ces éducateurs, ont joué un rôle crucial dans la continuité pédagogique malgré l’insécurité. Leur reconnaissance, aujourd’hui actée, témoigne d’un tournant dans la gouvernance actuelle : reconstruire l’État par la base, à travers l’école, le service, et l’engagement patriotique.

Dans un contexte de guerre asymétrique où l’ennemi cherche à déstructurer le tissu social, le Capitaine Ibrahim Traoré agit avec lucidité. Il sait que chaque école qui reste ouverte dans une zone rouge est un bastion contre l’obscurantisme. En officialisant le statut de ces Volontaires pour la Défense de l’Éducation (VDP de l’éducation), il valorise leur engagement exemplaire et leur sacrifice silencieux. C’est une reconnaissance politique forte, mais aussi un acte stratégique qui renforce la résilience des communautés.

Cette réforme résonne comme un appel au patriotisme. Le message est clair : chaque citoyen peut, à son niveau, contribuer à la reconquête et à la refondation. L’État ne se contente plus de résister, il reconstruit — avec ses fils et ses filles.

Le recrutement exceptionnel de 1 367 agents, dont ces enseignants, marque une volonté de structurer durablement l’appareil étatique. Il s’agit d’un acte fondateur de la refondation nationale, une politique de présence renforcée de l’État dans les zones les plus vulnérables.

Sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso ne subit plus l’insécurité. Il y oppose une vision, un projet et une mobilisation collective. Le développement structurel du pays s’enracine désormais dans une dynamique de reconquête territoriale, éducative et morale.

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