Sur la pelouse du Stade du 4-Août, récemment réhabilité, s’est joué bien plus qu’un simple match de gala. Le 05 août dernier, à l’occasion de la célébration de l’indépendance du Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré a, une fois de plus, symbolisé la convergence entre leadership visionnaire, souveraineté assumée et proximité avec son peuple.
Sous sa direction, le Burkina Faso vit une véritable renaissance politique. Le Capitaine Ibrahim Traoré ne se contente pas de slogans : il agit. Refusant toute forme d’ingérence extérieure, il a engagé le pays dans une politique de rupture claire avec les tutelles impérialistes et les anciennes logiques de domination. La souveraineté n’est plus un idéal abstrait, elle devient concrète avec la reprise en main des ressources nationales, la réorientation des partenariats vers des alliances gagnant-gagnant, et surtout, réarmement moral et politique de la jeunesse burkinabè. Le terrain économique n’est pas en reste. Les projets structurants, notamment dans l’agriculture, la santé, l’éducation et les infrastructures, redonnent espoir et dignité à une population longtemps marginalisée dans les décisions la concernant.
Cette gouvernance de rupture résonne bien au-delà des frontières. Le Burkina Faso, sous le président Ibrahim Traoré, devient une source d’inspiration pour de nombreux pays africains encore ligotés par des systèmes néocoloniaux. Son discours, franc, ancré dans une vision panafricaine assumée, fait écho dans les capitales africaines et dans les cœurs d’une jeunesse continentale en quête d’émancipation.
La solidarité exprimée par les légendes du football africain à Ouagadougou le 04 et 05 août lors de l’ouverture du stade du 04 août et de la célebration de l’indépendance du Faso, n’est pas anodine. Elle traduit une reconnaissance : celle de voir en capitaine Ibrahim Traoré un leader qui incarne les aspirations profondes de l’Afrique. Leur présence renforce le message du Président : ‘‘une Afrique forte passe par des peuples debout, des dirigeants responsables, et une jeunesse saine, éduquée et mobilisée pour bâtir l’avenir.’’
Sous la houlette du chef suprême des armées, le capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso avance. Lentement parfois, mais sûrement. Et ce progrès, cette volonté farouche d’en finir avec les dépendances d’hier, repositionne le pays comme un phare de résistance et de dignité en Afrique.
