Depuis le 1er Août 2024, le commissaire divisionnaire de Police, Mahamadou SANA dirige avec une main de fer, le département ministériel chargé de la sécurité. Du ministre délégué du même département au ministre proprement dit de ce secteur prioritaire pour le régime du capitaine Ibrahim TRAORE, le ministre SANA aurait mérité la confiance du président du Faso, par son ardeur et son dynamisme.
Pour la plupart des burkinabè, il s’agit d’un choix stratégique opéré par le premier des burkinabè. Conscient des défis majeurs dans ce secteur, le ministre Mahamadou SANA mène des actions de façon professionnelle et stratégique, prend des décisions idoines afin de répondre efficacement aux ambitions du chef de l’Etat et aux aspirations du peuple burkinabè en matière de sécurité du pays et d’éradication du terrorisme.
Avec une belle carrière bien garnie de succès et ayant dirigé efficacement plusieurs postes stratégiques comme par exemple, Directeur Adjoint de l’Agence nationale de renseignement, Enseignant à l’Ecole nationale de Police dans les domaines de renseignements généraux et de police aux frontières, pour ne citer que ceux-là, les burkinabè trouvent qu’il est bien à sa place, à la sécurité en raison de sa maîtrise du domaine.
Chose qu’il démontre parfaitement depuis son arrivée dans ce département, d’abord comme ministre délégué, ensuite ministre. Avec lui, des initiatives et projets ambitieux ont été entamés pour une sécurisation réussie et une lutte efficace contre le terrorisme et l’insécurité en général. Mais selon lui, cette mission ne sera réussie qu’avec l’appui et l’accompagnement de la population civile, de la détermination et de l’abnégation de ses collaborateurs et de ses frères d’armés de manière générale.
Il déclarait lors d’une cérémonie traditionnelle de montée des couleurs du pays, que la sécurité reste une priorité pour les plus hautes autorités du pays et que tous les burkinabè devraient s’y mettre afin de défendre efficacement le pays, garantir une meilleure sécurité, gage du développement social et économique.
Moustapha Ousmane
