Au Burkina Faso, les autorités déploient des stratégies visant à améliorer l’équipement des forces combattantes engagées sur les différents fronts. Dans cette optique, un Fonds de soutien patriotique a été instauré dans le but d’accélérer la reconquête du territoire national. Ce fonds est alimenté par un prélèvement de 25% sur les primes dans tous les départements ministériels concernés.
Cependant, il est regrettable de constater que certains fonctionnaires s’organisent pour entraver les efforts de recouvrement des recettes, agissant en collusion avec des éléments hostiles à la paix au Burkina Faso. Ces agents de la fonction publique œuvrent de concert avec des manipulateurs, dans le but de compromettre la stabilité du pays au détriment de l’intérêt général.
Il est crucial que le peuple burkinabè ne se laisse pas troubler par ces individus dont l’objectif premier est de s’enrichir au détriment de la sécurité de tous. Toute tentative de sabotage des actions de recouvrement des recettes doit être sévèrement réprimée, car la question des fonds communs représente une préoccupation majeure, voire une escroquerie sans précédent dans l’histoire du pays.
Les autorités burkinabè sont appelées à prendre des mesures concrètes pour enquêter sur ces agissements et garantir que les responsables soient tenus pour compte. Il est essentiel de faire toute la lumière sur la gestion de ces fonds, étant donné que les fonctionnaires saboteurs semblent avoir des complicités visant à détourner une partie significative de ces ressources.
L’année 2024 revêt une importance capitale, car le gouvernement est entièrement mobilisé pour faire face aux défis sécuritaires. Il est crucial de rappeler que ces fonds sont destinés au financement des opérations de sécurité nationale, jouant ainsi un rôle essentiel dans la préservation de la stabilité du Burkina Faso.
Fatou Sidibé
