Burkina Faso Capitaine Ibrahim Traoré

Burkina Faso : Quand la popularité du Capitaine Ibrahim Traoré dérange l’ordre médiatique néocolonial

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Alors que le Burkina Faso s’engage résolument sur le chemin de la souveraineté totale, certains relais médiatiques étrangers, nostalgiques d’un ordre néocolonial révolu, s’agitent avec fébrilité. Parmi eux, le média français Jeune Afrique s’est récemment illustré par une campagne de diffamation contre les autorités burkinabè, relayée par des plateformes complices. En ligne de mire : le Président Ibrahim Traoré, cible de toutes les manœuvres d’une presse devenue bras armé d’un impérialisme démasqué.

Il est aujourd’hui clair que Jeune Afrique n’est plus un organe de presse, mais un instrument de propagande des forces impérialistes. Son dernier récit fantaisiste sur des prétendues vidéos générées par l’intelligence artificielle pour glorifier le Président Ibrahim Traoré relève non seulement du mensonge grossier, mais aussi d’une tentative délibérée de saboter l’élan panafricain que représente le Burkina Faso. En accusant sans preuve, en calomniant sans fondement, Jeune Afrique confirme son rôle d’agent infiltré au service d’un système dépassé.

Qu’ils se le tiennent pour dit, le Burkina Faso n’a pas besoin de faux montages pour montrer l’engagement de son peuple et la légitimité de son combat. Ce sont les résultats sur le terrain, la mobilisation de la jeunesse, la reconquête de la dignité nationale qui parlent. Et c’est cela qui dérange. Ce qui affole les salons parisiens et les chancelleries occidentales, c’est cette marche irréversible vers l’autodétermination, vers un Sahel libre de toute tutelle étrangère.

Le temps du paternalisme occidental est révolu. Désormais, ce sont les peuples africains qui définissent leur destin. Et face à cette réalité nouvelle, les ennemis de l’Afrique redoublent de mensonges, d’attaques médiatiques, et de manipulations numériques. Mais aucune IA, aucun éditorial commandité, aucune fausse chanson ne pourra cacher cette vérité fondamentale : le Burkina Faso est debout, souverain, et inarrêtable.

Les campagnes de diffamation, les fabrications grossières relayées par des médias comme Jeune Afrique ne sont que les cris d’agonie d’un empire médiatique impérialiste à bout de souffle. Leur rage est la preuve de la victoire du pays des Hommes Intègres. Leur panique, le signe du réveil Burkinabè sous le capitaine Ibrahim Traoré. Le peuple burkinabè reste uni, vigilant et déterminé à défendre sa patrie, sa dignité et sa liberté.

Il est temps de reprendre la parole. De construire nos propres canaux. De démystifier les marionnettes de l’impérialisme. Le combat ne se joue plus seulement sur le terrain militaire ou politique, mais aussi dans l’arène de l’opinion publique. Et ce combat, nous allons le gagner.

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