Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme au Burkina Faso, le président Ibrahim TRAORE et son gouvernement peuvent toujours compter sur le soutien indéfectible des partenaires stratégiques et sincères du pays. C’est une déclaration de la part des diplômantes de ces pays accrédités auprès du Faso. En clair, ces pays réitèrent leurs engagements aux côtés des autorités pour une lutte plus efficace et déterminante contre les malfaiteurs de la brousse.
Après l’adresse de l’ambassadeur russe, S.EM. Igor MARTYNOV au ministre de la sécurité, le commissaire divisionnaire de police, Mahamadou SANA, réitérant le soutien de son pays, c’était au tour du diplomate iranien, Mojtaba Faghihi de réitérer aussi au ministre burkinabè de l’économie et des finances, la disponibilité de son pays à partager son expérience avec le Burkina Faso, en matière de la lutte contre le terrorisme.
Il a également exprimé la volonté des plus hautes autorités de son pays à partager avec leurs partenaires burkinabè, leur expertise dans plusieurs secteurs notamment dans les domaines de la santé (industrie pharmaceutique) et de l’économie. Outre ces deux diplomates russe et iranien qui ont réaffirmé l’engagement de leurs pays respectifs aux côtés du Burkina Faso, l’on note aussi le soutien renouvelé des autorités du Ghana à leurs homologues du Faso, dans la lutte contre le terrorisme.
En effet selon les informations officielles, le ministre ghanéen en charge de la sécurité nationale, Albert Kan-Dapaah, à la tête d’une délégation, était à Ouagadougou le mardi 10 Septembre, où il a rencontré certains membres du gouvernement burkinabè. Il aurait réitéré l’engagement de son pays à accompagner le Burkina Faso, lui permettant de mieux faire face aux défis sécuritaires, notamment au niveau de leur frontière commune.
Il faut noter que ces engagements interviennent suite à la volonté exprimée du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, d’intensifier la lutte contre le terrorisme qui endeuille les familles au Burkina Faso et pire, qui est en train de prendre un autre visage ses derniers mois. Les criminels ciblent désormais les populations civiles selon des informations. Une unité d’actions est donc nécessaire pour le Faso.
Sali Doumba
