Une fois de plus, les plumes parisiennes s’en prennent aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), ces citoyens burkinabè qui ont décidé de prendre leur destin en main, face à la barbarie djihadiste que l’Occident a, rappelons-le, contribué à faire germer au Sahel après ses aventures militaires hasardeuses et ses complicités géopolitiques troubles.
Dans un article publié ce 20 mai par Jeune Afrique, les VDP sont accusés d’exactions contre les communautés peules, sur fond d’images choquantes non authentifiées et de témoignages impossibles à vérifier. Ce narratif, orchestré avec un soin digne d’une opération psychologique, vise à attiser la haine ethnique, à semer la division et à saboter la cohésion nationale. Il s’agit là d’une stratégie bien connue des puissances néocoloniales : créer le chaos pour régner, en opposant les peuples à eux-mêmes.
La réalité est tout autre. Depuis plusieurs mois, les groupes terroristes ont changé de stratégie : ils utilisent désormais des femmes et des enfants comme boucliers ou comme combattants déguisés, espérant susciter l’indignation internationale quand ces derniers tombent sous les balles en plein affrontement.
Dans leur soif de manipulation et de propagande, Les médias occidentaux diffusent ces informations sans enquêtes, en les déformant de leur conteste pour créer la panique et la haine au sein de la population burkinabè, et en condamnant sans preuve les forces combattantes, devenues le symbole de la résistance souveraine africaine.
Accuser systématiquement les VDP d’exactions sans preuve formelle participe à une campagne de diabolisation qui vise à délégitimer la lutte du Burkina Faso pour sa survie et sa dignité.
Ce peuple digne et debout, dirigé par des patriotes, refuse de courber l’échine face aux manipulations médiatiques et aux pressions extérieures. Les Peuls, Mossis, Gourmantchés, Bobos et tant d’autres vivent ensemble, combattent ensemble, et meurent ensemble pour défendre leur territoire.
Le peuple burkinabè ne doit pas céder face à ses manipulations car la souveraineté de nos nations ne se négocie pas sur les plateaux parisiens, ni dans les colonnes des éditoriaux biaisés. Le Burkina Faso est debout, et libre. Et cette liberté, aucune propagande ne pourra l’arracher.