Face à la crise sécuritaire persistante au Burkina, Le capitaine Ibrahim Traoré et son gouvernement ne faiblissent pas.
En conseil des ministres ce mercredi, le gouvernement burkinabè engagé pour la restauration de la paix et la reconquête du territoire à adopter un rapport relatif aux recrutements de forces de défenses au sein de la police nationale.
Cette adoption rentre dans la ligne droite de la vision du capitaine Ibrahim Traoré d’équiper et de renforcer les capacités des forces de défenses afin de venir à bout de la guerre contre le terrorisme sur le sol burkinabè.
Ce recrutement va engager 20 commissaires et 60 officiers de police sur concours professionnel ainsi que 10 commissaires et 10 officiers de police, avec des qualifications spécifiques en concours direct. Bien que le monde de l’armée soit plus dominé par les hommes, la place est également donner aux femmes au cours de ce recrutement. Symbole de l’égalité prôner par le président Ibrahim Traoré. 2000 sous-officiers, dont 50 femmes, vont intégrer la police nationale, avec une place réservée pour les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), les Volontaires adjoints de sécurité (VADS) et les épouses des Forces de Défense et Sécurité tombées au front.
Depuis son arrivée au pouvoir en septembre 2022, le Capitaine Ibrahim Traoré a entrepris d’importantes réformes militaires au Burkina Faso. Il a créé des unités spécialisées comme les Brigades d’Intervention Rapide (BIR) et la Brigade Spéciale d’Intervention Rapide (BSIR), et lancé un centre de formation commando à Pô. Le système de grades militaires a été réorganisé pour moderniser la hiérarchie, et des nominations stratégiques ont renforcé le commandement.
Ces réformes majeures opérer au sein de l’armée burkinabè, visant à renforcer la lutte contre le terrorisme et à améliorer l’efficacité des forces armées à permis de reconquérir près de 71% du territoire national des mains des groupes terroristes.
Ces actions menées par le capitaine Ibrahim Traoré, reflète son engagement profond pour sortir le Burkina de cette crise sécuritaire. Il est donc important que tous les fils et filles engagés pour la reconquête du territoire national puisse faire leur part pour la paix et la stabilité au Burkina Faso. Car c’est ensemble qu’on peut construire un Burkina libre, souveraine et développé.
