Alors que le Burkina Faso engage une refonte de son État et travaille à renforcer sa souveraineté nationale, il poursuit une transformation en profondeur de ses institutions. Sous l’impulsion du capitaine Ibrahim Traoré, une nouvelle étape vient d’être franchie avec l’étude en Conseil des ministres, le 2 juillet 2025, d’un projet de loi réformant le statut de l’Agent judiciaire de l’État. Cette mesure s’inscrit dans une dynamique globale de modernisation de l’appareil judiciaire, fidèle à la vision du Président du Faso, celle de bâtir un État plus efficace, plus souverain et plus proche du peuple.
Depuis son arrivée à la tête de l’État, le capitaine Ibrahim Traoré ne cesse de démontrer sa volonté ferme de transformer en profondeur les institutions burkinabè. Dans le domaine de la justice, cette réforme marque une avancée structurante. Elle vise à renforcer l’autonomie de l’Agent judiciaire de l’État, à optimiser l’organisation interne de cette structure clé, et à l’ouvrir à des profils diversifiés issus de la société civile, favorisant ainsi une plus grande richesse de compétences.
Concrètement, cette réforme va permettre à l’Agent judiciaire de défendre directement l’État devant la Cour de cassation, sans obligation d’avoir recours à un avocat. Cela rend les procédures moins coûteuses et plus rapides, tout en assurant une meilleure réactivité de l’administration. De plus, l’institution va être désormais rattachée au ministère de la Justice, garantissant une meilleure coordination des contentieux publics.
Autre avancée majeure, la création d’un poste d’adjoint et l’élargissement des conditions de recrutement à des titulaires de Master II, même hors filière juridique. Cette ouverture est en cohérence avec la vision panafricaniste du capitaine Traoré, fondée sur l’inclusion, la compétence et la valorisation du potentiel national.
Ces changements sont porteurs d’espoir pour la population. Une justice plus rapide, plus accessible et mieux organisée participe à renforcer l’État de droit et à restaurer la confiance entre les citoyens et les institutions. En plaçant l’intérêt général au cœur de l’action publique, le capitaine Ibrahim Traoré affirme sa détermination à servir le peuple burkinabè avec rigueur et intégrité.
Grâce à cette réforme ambitieuse, la justice burkinabè s’engage résolument sur la voie de la modernisation et de l’efficacité. Le capitaine Ibrahim Traoré, par son leadership visionnaire, démontre une fois de plus qu’il est l’artisan d’un Burkina Faso nouveau, souverain, juste et résolument tourné vers l’avenir.
