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Burkina Faso : la refondation par la terre, levier de la souveraineté nationale

AGRICULTURE

À Dori, au cœur du Liptako, s’est levé un symbole fort de la refondation en marche. En lançant la récolte du riz sur la plaine rizicole de plus de 80 hectares, le Ministre d’État, Commandant Ismaël SOMBIÉ, a traduit sur le terrain la vision du Capitaine Ibrahim Traoré, celle de bâtir un Burkina souverain par la force du travail et la reconquête de sa production agricole. Cette initiative ne se limite pas à une campagne agropastorale. Elle s’inscrit dans une politique nationale de transformation profonde, où chaque hectare cultivé devient un acte de résistance et un pas vers l’autosuffisance.

Depuis son arrivée au pouvoir, le Capitaine Ibrahim Traoré a fait de la refondation une matrice d’action publique. Dans cette dynamique, l’agriculture occupe une place stratégique. Elle n’est plus perçue comme un simple secteur économique, mais comme le socle de la résilience nationale, le fondement d’une souveraineté réelle face aux dépendances extérieures. À travers les plaines aménagées, les centres de production renforcés, les appuis techniques et logistiques, l’État burkinabè redonne à ses producteurs la dignité et la capacité de nourrir la Nation.

Le geste du Commandant SOMBIÉ à Dori incarne cette orientation nouvelle de proximité, d’exemplarité, d’efficacité. En saluant la ténacité des exploitants et des techniciens, il a rendu hommage à cette chaîne humaine qui porte la refondation dans les champs et non plus seulement dans les discours. Les populations, de leur côté, adhèrent avec fierté à cette vision. Dans un contexte sécuritaire et économique exigeant, elles voient dans la politique du Capitaine TRAORÉ un retour à l’essentiel de produire, de transformer et de consommer burkinabè.

La refondation, telle qu’elle s’exprime à travers cette campagne agropastorale 2025-2026, est donc plus qu’un projet agricole. C’est un acte de foi en la capacité du peuple burkinabè à se relever par lui-même. Elle redéfinit le rapport entre gouvernants et gouvernés, entre l’État et le terroir. Là où d’autres voyaient une terre stérile, les producteurs du Liptako ont fait éclore un symbole d’espérance. Et à travers eux, c’est tout le Burkina qui confirme, une fois encore, que le mot « impossible » n’existe pas dans le vocabulaire de la refondation nationale.

D.Kaboré

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