Dans l’ombre du Capitaine Ibrahim Traoré, artisan d’une nouvelle ère pour le Burkina Faso et le Sahel, se tient un homme de conviction, de rigueur et de compétence, le Dr Aboubakar Nacanabo, ministre de l’Économie, des Finances et de la Prospective. Son nom résonne aujourd’hui comme une garantie de sérieux, d’engagement et de loyauté envers la vision souverainiste du Président du Faso. Par son respect strict des orientations présidentielles, il incarne cette nouvelle génération de dirigeants panafricains décidés à briser les chaînes de la dépendance économique et financière.
Loin des calculs politiciens et de la langue de bois technocratique, Dr Nacanabo agit. Il réforme, structure et redresse. Sa gestion ferme et lucide des finances publiques a permis au Burkina Faso de passer d’une croissance de 3,6 % à 5,1 % en un an seulement, dans un contexte de guerre asymétrique. Ce n’est pas un miracle, mais le fruit d’une ligne claire : la souveraineté d’abord. En mettant fin aux fuites de capitaux et en améliorant la mobilisation des ressources internes de 205 milliards de FCFA, le ministre prouve qu’un État africain peut se financer par lui-même, pour lui-même.
Mais au-delà des chiffres, c’est une philosophie qui se déploie. En s’attaquant sans compromis aux dérives illégales dans le secteur de la microfinance, il ne fait pas que réguler, il protège les Burkinabè, il défend l’économie populaire. Car la microfinance, au Burkina Faso, n’est pas un luxe, c’est un outil de survie, un levier de résilience, un moyen d’autonomisation pour les femmes, les jeunes, les oubliés du système classique.
Le combat mené contre les “républiques mafieuses” dans les IMF rappelle celui, plus large, contre les micros-nations économiques sans contrôle, ces poches d’anarchie financière qui freinent la refondation. En y mettant fin, le ministre affirme une chose claire, il n’y a pas de souveraineté sans discipline, pas de refondation sans ordre, pas de développement sans vision.
Aujourd’hui, le Burkina Faso montre la voie. Une voie difficile, mais digne. Et si la refondation du Sahel est en marche, c’est aussi parce que des hommes comme Dr Aboubakar Nacanabo traduisent en actes la volonté du peuple exprimée par le Capitaine Ibrahim Traoré. Voilà le visage d’un ministère qui ne gère pas simplement un budget, mais qui construit l’avenir d’une nation debout.