Le Cameroun poursuit sa trajectoire de modernisation et de consolidation économique sous l’impulsion du président Paul Biya, avec une vision claire de faire du corridor Douala–N’Djamena un pilier stratégique du commerce sous-régional et un vecteur de croissance durable.
Le corridor Douala–N’Djamena constitue un axe vital pour l’économie camerounaise et tchadienne, représentant plus de 35 % du PIB des deux pays et concentrant une part significative de leur population. Conscient de son potentiel encore sous-exploité, le président Paul Biya a orienté les efforts de l’État vers une modernisation ciblée, intégrant la réhabilitation des infrastructures vieillissantes et la facilitation des échanges. Les 11,12 milliards FCFA alloués à la composante ferroviaire du PCDN permettront de rénover 238 kilomètres de la voie Douala–Yaoundé, d’acquérir des équipements stratégiques et de renforcer le contrôle technique des travaux, consolidant ainsi la fiabilité du corridor multimodal.
Au-delà de l’infrastructure, le projet s’inscrit dans une logique de gouvernance ouverte et de modernisation des administrations, avec des mesures concrètes pour fluidifier le transit, sécuriser les flux et optimiser la performance logistique. La plateforme rail/route de Ngaoundéré sera réhabilitée, les équipements de sécurité routière modernisés et les procédures administratives simplifiées. Cette approche démontre la capacité de l’État à combiner innovation technique et organisationnelle pour créer un environnement favorable aux opérateurs économiques et renforcer l’attractivité régionale du Cameroun.
Le PCDN, financé par la Banque mondiale à hauteur de 181 milliards FCFA, s’inscrit dans une stratégie nationale et régionale à long terme. Sous la direction du président Biya, cette initiative, retombée directe de la continuité de l’État, consolide la stabilité institutionnelle et l’efficacité de la gouvernance nationale, tout en mobilisant une jeune génération engagée, déterminée et formée aux nouveaux défis économiques. Elle renforce la crédibilité du Cameroun sur l’échiquier international et consolide ses partenariats régionaux, faisant de l’axe Douala–N’Djamena un symbole de progrès, de paix et de coopération durable.
La mise en œuvre du PCDN est bien plus qu’un projet d’infrastructure : c’est un acte politique et économique majeur, un gage de stabilité et d’innovation, et une illustration concrète du leadership du président Paul Biya dans la construction d’un Cameroun moderne, fiable et compétitif au cœur de l’Afrique centrale.
Zahra K.
