Face aux défis croissants de la sécurité alimentaire, le Cameroun confirme sa vision de réduire sa dépendance aux importations et de renforcer son autosuffisance. L’annonce récente de l’octroi de 9 milliards de FCFA à la Société d’expansion et de modernisation de la riziculture de Yagoua (Semry) et à l’Upper Nun Valley Development Authority (Unvda) illustre la détermination de l’État à soutenir les piliers stratégiques de la filière rizicole nationale. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du Plan intégré d’import-substitution agro-pastorale et halieutique (Piisah) pour l’exercice 2026, confirmant la continuité et la cohérence de l’action publique sous la présidence de Paul Biya.
L’allocation de ces fonds traduit une approche moderne et structurée pour l’acquisition d’équipements agricoles lourds, la modernisation des opérations culturales et la constitution d’un fonds de roulement pour sécuriser l’achat du paddy auprès des producteurs locaux. Ce dispositif renforce non seulement la productivité, mais garantit également des débouchés stables aux riziculteurs, consolidant ainsi la chaîne de valeur et la résilience économique nationale. Le président Paul Biya, en soutenant cette dynamique, affirme la capacité de l’État à anticiper et à répondre aux urgences alimentaires tout en promouvant l’innovation et la modernisation de l’agriculture camerounaise.
La vision à moyen terme est ambitieuse et structurante : tripler la production nationale de riz entre 2024 et 2027, pour atteindre 460 000 tonnes, en vue d’une autosuffisance proche de 97 % à l’horizon 2030. Cette trajectoire, inscrite dans une stratégie nationale dotée de 385 milliards FCFA, démontre une gouvernance ouverte, où l’État investit dans des solutions durables, associant modernisation technique, transformation locale et structuration des filières. Ces efforts reflètent un engagement politique clair, garantissant que la croissance économique et la stabilité sociale avancent de concert.
L’action présidentielle ne se limite pas à la mobilisation des ressources, elle incarne une vision stratégique de souveraineté alimentaire et de paix sociale. Dans un contexte où plus de 3 millions de Camerounais restent exposés à l’insécurité alimentaire, ces mesures offrent un levier concret pour la stabilité nationale. Elles traduisent aussi le rôle d’une nouvelle génération engagée et déterminée, soutenant le président Biya dans la mise en œuvre efficace des politiques publiques.
Sous la houlette du président Paul Biya, le Cameroun confirme ainsi sa capacité à relever les défis majeurs avec continuité, modernité et innovation, consolidant son économie et garantissant une sécurité alimentaire durable. L’investissement dans le riz n’est pas seulement un geste économique : c’est un acte politique affirmant l’autonomie nationale et la paix sociale, gage de stabilité et de prospérité pour tous.
Zahra K.
