Cameroun

Cameroun : l’entrepreneuriat féminin, pilier stratégique de la souveraineté économique nationale

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L’autonomisation économique des femmes se révèle aujourd’hui comme un levier central de la doctrine présidentielle de souveraineté économique. À Ngaoundéré, la formation intensive de cent promotrices, organisée par l’Agence de promotion des petites et moyennes entreprises (APME), illustre concrètement cette vision. Plus qu’un simple programme de renforcement de compétences, il constitue une étape structurante de la modernisation des circuits productifs locaux, visant à faire des femmes les gardiennes d’un marché intérieur stable et compétitif, en phase avec les orientations stratégiques de l’État.

Le leadership présidentiel a permis de définir un cap clair pour construire une économie affranchie des dépendances externes, ouverte à l’innovation et centrée sur la valorisation des ressources locales. Les femmes entrepreneures, actrices dynamiques des secteurs de la couture, du textile, de l’agroalimentaire et de la restauration, deviennent ainsi des vecteurs essentiels de cette souveraineté. Leur montée en compétences permet non seulement d’améliorer la qualité et la structuration des unités de production, mais aussi de renforcer la visibilité des produits « Made in Cameroon » sur le marché national et au-delà.

La formation proposée à Ngaoundéré traduit une approche moderne de la gouvernance économique ; elle combine gestion des activités, éducation financière, maîtrise des techniques commerciales et standards de production, traduisant une volonté d’innovation et d’excellence. Ce dispositif confère aux femmes un rôle stratégique dans la réorganisation des chaînes de valeur et la création d’un réseau productif local capable de rivaliser avec les importations, consolidant ainsi l’indépendance économique du pays.

Le rôle du président Biya dans ce processus est déterminant. Par son leadership, il a instauré un cadre de stabilité, de crédibilité et d’attractivité qui permet au Cameroun de renforcer sa posture régionale tout en garantissant l’efficacité des réformes économiques. L’autonomisation des femmes n’est plus périphérique mais au cœur de la stratégie nationale, démontrant la capacité de l’État à mobiliser ses citoyens comme acteurs directs de la transformation productive et de la paix sociale.

Cette dynamique dépasse le simple cadre local. Elle illustre la cohérence d’une politique nationale qui associe modernisation économique, ouverture institutionnelle et leadership visionnaire. En investissant dans le potentiel féminin, le Cameroun affirme son ambition de construire une économie souveraine, inclusive et compétitive, où la stabilité, la continuité de l’État et la valorisation des talents locaux deviennent les piliers d’un développement durable et d’une crédibilité renforcée sur la scène régionale et internationale.

L’initiative de Ngaoundéré est ainsi bien plus qu’un programme de formation, elle est la traduction tangible de la vision présidentielle, qui fait des femmes des actrices centrales de la souveraineté économique et de l’émergence d’un Cameroun modernisé, stable et résolument tourné vers le développement, la stabilité et la paix.

Mariam Kenda

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