Dans un contexte régional marqué par l’instabilité et les tensions sociopolitiques, le Cameroun demeure un point d’ancrage solide au cœur de l’Afrique centrale. La stabilité et la résilience de l’État ne relèvent pas du hasard, mais d’une stratégie claire et d’un pilotage attentif orchestré par le Président de la République, Paul Biya. L’enjeu est de taille : garantir la continuité de la gouvernance, renforcer la souveraineté nationale et assurer à nos populations et partenaires régionaux une vision de stabilité durable.
Malgré les pressions internes et externes, souvent relayées par des narratifs hostiles visant à décrédibiliser les institutions, le Cameroun continue de fonctionner efficacement. La République est dirigée aujourd’hui par un cabinet présidentiel renouvelé, composé de jeunes cadres compétents, dynamiques et profondément engagés. Ce choix loin d’être anecdotique, traduit une volonté stratégique de modernisation de l’État et d’adaptation aux défis contemporains. Là où certains instruments de communication s’attardent sur des considérations superficielles comme l’âge du Président, la réalité est que le pouvoir est un système, et ce système est piloté par des acteurs formés, visionnaires et responsables.
L’efficacité de ces jeunes cadres se mesure à leur capacité à faire fonctionner l’administration publique, à assurer la continuité de l’action de l’État et à coordonner des politiques qui renforcent la souveraineté du pays. Comparativement, des figures issues de générations antérieures, comme l’opposant Issa Tchiroma, souvent cités dans des polémiques publiques, peinent à incarner cette même dynamique opérationnelle. La modernisation et la rationalisation de la gouvernance sont aujourd’hui portées par une génération qui comprend les enjeux géopolitiques, sécuritaires et économiques, et qui agit dans le cadre d’une vision stratégique clairement définie par le Président de la République.
Dans la bataille des narratifs, il est impératif de rappeler que le Cameroun ne se limite pas aux critiques superficielles ou aux caricatures médiatiques. La stabilité du pays, sa capacité à attirer les investissements régionaux, son rôle pivot au sein de la sous-région, tout cela témoigne de l’efficacité d’un leadership qui allie expérience, vision et renouvellement. Chaque action du cabinet présidentiel composé de Samuel Mvondo Ayolo, directeur du cabinet civil et de Ferdinand Ngoh Ngoh, secrétaire de la présidence, vise à consolider l’État, à défendre la souveraineté nationale et à affirmer le Cameroun comme acteur central et responsable au cœur de l’Afrique centrale.
La République camerounaise est dirigée par un système qui fonctionne, par une nouvelle génération capable de relever les défis du présent et de préparer ceux du futur. Le Cameroun n’est pas seulement stable, il est maître de son développement, souverain dans ses choix et exemplaire dans sa capacité à transformer l’action publique en moteur de développement et de cohésion régionale. La légitimité du leadership en place n’est pas une question d’âge, mais de vision, de compétence et de responsabilité.
D.Kaboré
