Sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso entre dans une ère nouvelle, celle de la souveraineté scientifique et technologique. En présidant pour la première fois la cérémonie d’ouverture du 15e Forum national de la recherche scientifique et des innovations technologiques (FRSIT), le Chef de l’État a clairement défini une orientation politique majeure : la refondation du pays ne se fera pas sans la science, sans l’intelligence nationale, sans la mobilisation des savoirs au service du peuple.
Le ton est posé dès le départ : « Un cerveau plein de savoir et un cœur vide de patriotisme, nous n’en voulons pas ». Cette phrase, devenue virale, résume l’esprit du nouveau contrat national que le Président du Faso entend sceller entre l’État, la jeunesse et le monde de la recherche. Elle traduit une rupture avec les logiques anciennes de dépendance intellectuelle et de fuite des cerveaux. Le capitaine Ibrahim Traoré invite désormais à un patriotisme scientifique, à un engagement du savoir dans le combat pour la souveraineté et la renaissance du Burkina Faso.
En inscrivant le FRSIT sous le thème de la relance de l’industrialisation, le Chef de l’État lie innovation et production nationale. Il ne s’agit plus seulement de célébrer la recherche, mais de faire de la connaissance un instrument de puissance économique. L’annonce de l’acquisition, dès 2026, d’équipements de pointe pour les chercheurs, et la décision de multiplier par cinq les prix de récompense, traduisent une volonté politique ferme de repositionner la recherche comme levier stratégique du développement endogène.
Cette démarche s’inscrit dans une vision globale de la Révolution Progressiste Populaire pour construire un État souverain, productif et fier de ses propres forces. La création du centre Faso Bangré et l’appui à la plateforme Faso Andubè illustre cette synergie nouvelle entre l’État et la créativité nationale. C’est une approche de refondation par l’action, où le leadership politique se conjugue avec la valorisation des compétences locales.
Sur le terrain, les populations y adhèrent. La jeunesse, stimulée par cette parole directe et mobilisatrice, retrouve dans cette orientation un horizon de dignité et d’opportunité. Les chercheurs, longtemps en marge, se sentent enfin reconnus comme acteurs centraux de la transformation du pays.
En plaçant la science au cœur de la Révolution, le président Ibrahim Traoré trace une ligne claire, le Burkina Faso ne sera fort que par l’intelligence et le patriotisme de ses fils.
C’est là le visage d’une refondation véritablement africaine, lucide, audacieuse et souveraine
D.Kaboré
