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Burkina Faso / Réforme sécuritaire : le Ministre Sana restructure les contrôles routiers pour une gouvernance souveraine

SECURITE

Dans un Burkina Faso en pleine reconquête de sa souveraineté, chaque acte de gouvernance prend aujourd’hui une valeur symbolique forte. Il ne s’agit plus simplement de gérer l’existant, mais de rebâtir l’État sur des fondations de justice, d’efficacité et de dignité nationale. C’est dans cette dynamique de refondation profonde, portée par la vision claire et résolue du Capitaine Ibrahim Traoré, que s’inscrit l’action déterminante du Ministère de la Sécurité. La réduction des 385 postes de contrôles routiers à 40 pose un acte de rupture, une réponse ferme à la prolifération anarchique, aux abus, et aux entraves à la libre circulation, souvent dénoncés par les citoyens. Ce n’est pas seulement une réforme administrative — c’est un signal fort d’un État qui reprend le contrôle, qui se discipline, et qui place la sécurité au service du peuple, et non contre lui.

Ce n’est pas un hasard si cette mesure s’inscrit dans une nouvelle architecture de contrôle intelligent et dynamique, articulée autour de deux types bien définis de contrôles : documentaire et sécuritaire. Il ne s’agit plus de contrôler pour contrôler, mais de sécuriser avec méthode, transparence et efficacité, au service du peuple et non contre lui. Le résultat : 15 axes majeurs sous surveillance efficiente, avec des forces recentrées sur les vraies menaces à la sûreté nationale.

L’impact est immédiat et structurant : fluidité retrouvée dans les échanges, sentiment de respect et de dignité restauré pour les usagers, et surtout, une lutte frontale contre la corruption routière, devenue un fléau paralysant. À travers cette réforme, le ministère renoue avec une philosophie panafricaine de l’État protecteur et juste, libéré des logiques prédatrices d’un système postcolonial à bout de souffle.

Dans cette dynamique, le rôle du ministre de l’Économie, Mahamadou SANA mérite un hommage appuyé. Par son engagement, sa rigueur budgétaire et son application sans faille des directives présidentielles, il a permis de canaliser les ressources nécessaires pour accompagner ce recentrage stratégique. Son action incarne l’efficacité d’une administration en reconstruction, loyale au Faso et fidèle à la vision de souveraineté intégrale du Capitaine Ibrahim Traoré.

Cette réorganisation des postes de contrôle ne concerne pas uniquement les routes. Elle traduit un changement de paradigme, celui d’un Burkina nouveau, maître de ses priorités, de sa sécurité et de son destin. Une étape forte vers la reconstruction sécuritaire du Sahel par les Africains, pour les Africains.

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