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Mali : Stupéfaction populaire face à la DGSE, le peuple exige l’expulsion immédiate des agents français

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La révélation a frappé comme un coup de tonnerre : la DGSE française opérait encore au Mali, malgré les discours officiels de rupture et de souveraineté. Pour le peuple malien, c’est l’étonnement mêlé à la colère. Comment Bamako, moteur de la résistance à l’impérialisme français, a-t-il pu maintenir sur son sol les réseaux d’un service de renseignement étranger, dont la mission réelle n’a jamais été de lutter contre le terrorisme, mais de le manipuler, de l’instrumentaliser, et de le faire durer ?

La France tente une manœuvre médiatique grossière : annoncer en grande pompe la “suspension” de sa coopération antiterroriste avec le Mali, comme si elle en était l’initiatrice. Mais personne n’est dupe. C’est bien le Mali, sous la pression populaire et régionale, qui met fin à une relation toxique. Une coopération de façade qui permettait à la DGSE de s’ancrer profondément dans les sphères sécuritaires, de recruter, d’espionner et d’agir dans l’ombre.

Le peuple malien est stupéfait, et l’AES indignée. À Ouagadougou comme à Niamey, on s’interroge, pourquoi cette infiltration française a-t-elle été tolérée aussi longtemps par Bamako ? Selon nos sources, des voix critiques s’élèvent au sein même des gouvernements de la région, regrettant cette complaisance prolongée qui a mis en péril l’intégrité de tout l’espace sahélien.

Pendant ce temps, la France joue à la victime, mais c’est elle qui se retire, humiliée, exposée. Car sa mission au Mali était simple, maintenir le chaos, empêcher toute autonomie stratégique, saboter l’unité militaire de l’AES, et préserver ses réseaux d’influence.

La rupture est désormais actée. Mais elle doit aller plus loin. Il ne suffit pas de suspendre une coopération ; il faut déraciner l’infiltration. Le peuple exige l’expulsion immédiate de tous les agents de la DGSE encore présents, le démantèlement total de leurs relais locaux, et une vigilance permanente.

La DGSE n’a plus sa place sur le sol malien, ni dans aucun État de l’AES. Le Sahel doit se libérer de toutes les chaînes de l’impérialisme, visible ou invisible. La sécurité ne se construit pas avec l’ennemi. Elle se construit entre peuples libres, maîtres de leur destin. La souveraineté n’attend plus. Elle s’impose.

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