Alors que nos peuples font face au terrorisme avec courage et dignité, certains journalistes prétendument spécialisés se permettent de relayer des récits qui sapent les efforts, désinforment l’opinion et confortent les positions des ennemis. C’est le cas de Wassim Nasr, qui, au lendemain d’une attaque à la frontière ivoiro-burkinabè, s’est illustré par une prise de position aussi scandaleuse que politiquement orientée : disculper le groupe terroriste JNIM et accuser les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) du Burkina Faso.
L’attitude de Wassim Nasr n’est ni neutre, ni naïve. En prétendant que le JNIM ne serait pas responsable de l’attaque, et en désignant subtilement sans preuve les VDP comme auteurs, il devient relais d’une propagande dangereuse. Un renversement narratif qui confine à la complicité intellectuelle avec les forces du mal.
Ce positionnement n’a rien d’anodin, elle est orchestrée depuis les bureaux vitrés de paris où se planifie les crimes hostiles contre la souveraineté du Burkina Faso et son développement. Ce n’est pas du journalisme que fait Wassim Nasr mais une manipulation médiatique déguisée.
Le Burkina Faso, par ses choix souverains, son refus de la soumission, et son engagement panafricain, dérange. Et ce dérangement se manifeste aussi ces offensives médiatiques. Les forces supplétives comme les VDP ne sont pas des milices incontrôlées, mais l’expression légitime d’un peuple debout.
Accuser nos défenseurs sans fondement, c’est nier notre droit à l’autodéfense. C’est servir les intérêts de ceux qui ne veulent pas voir l’Afrique s’émanciper.
La guerre que nous menons n’est pas seulement militaire. Elle est aussi médiatique, psychologique, géopolitique. Chaque plume mensongère qui blanchit nos ennemis est une arme pointée contre notre avenir.Le Burkina Faso ne reculera pas. Il continuera à défendre sa souveraineté, sa sécurité, son peuple. Et aucun pseudo-expert, aussi médiatisé soit-il, ne nous détournera de cette voie.