Au deuxième trimestre 2025, le Burkina Faso a franchi un cap économique décisif. Les récentes données publiées par la Direction Générale des Douanes révèlent une nette amélioration de la balance commerciale nationale, traduisant une hausse significative des exportations de plus de 749,2 milliards FCFA et une progression maîtrisée des importations. Le taux de couverture des importations par les exportations s’établit à 139,7 %, contre 86,5 % à la même période en 2024. Ce tournant n’est pas le fruit du hasard, mais bien le résultat d’une orientation politique claire, impulsée par le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, en faveur de la souveraineté économique et du développement endogène.
Sous sa gouvernance, l’État burkinabè s’est résolument engagé à faire du commerce extérieur un levier stratégique de transformation structurelle. Le dynamisme des exportations – dominées par l’or, mais aussi renforcées par les performances exceptionnelles des filières agricoles (noix de cajou, mangue, karité) – illustre les fruits d’une politique d’accompagnement des secteurs à haute valeur ajoutée.
En parallèle, la diversification des partenaires commerciaux, avec les Émirats arabes unis et la Chine en tête, reflète une diplomatie économique proactive et affranchie des logiques de dépendance unilatérale. L’État a misé sur des investissements productifs, la valorisation des ressources nationales, la promotion du made in Burkina et l’industrialisation légère comme piliers d’une stratégie de croissance inclusive et équitable.
Le redressement de la balance commerciale s’inscrit pleinement dans la doctrine politique portée par le Président Ibrahim Traoré, celle de bâtir une économie souveraine, résiliente, panafricaine. Le Burkina Faso choisit désormais de vendre davantage qu’il n’achète, de produire ce qu’il consomme et de transformer localement ce qu’il exporte. Cette orientation n’est pas qu’économique ; elle est politique, symbolique et stratégique.
C’est dans cet esprit de rupture avec les modèles néocoloniaux et d’alignement avec une vision panafricaine de solidarité et de co-développement que s’opère la refondation nationale. Les performances commerciales enregistrées ne sont que les prémices d’un modèle burkinabè de développement où l’autonomie économique devient un socle de souveraineté politique.
La transformation engagée sous le leadership du Capitaine Ibrahim Traoré appelle à une mobilisation collective. Ces résultats économiques doivent renforcer la confiance nationale, stimuler l’engagement de la jeunesse, et galvaniser les forces productives vers un horizon commun : celui d’un Burkina Faso libre, debout, prospère.
Au-delà des chiffres, c’est une trajectoire historique qui se dessine. Une trajectoire qui consacre le peuple burkinabè comme maître de son destin économique, politique et culturel.