Burkina Faso Passeport AES

Burkina Faso : l’État renforce sa souveraineté avec tous les passeports burkinabè désormais estampillés AES

DEVELOPPEMENT

L’adoption du passeport AES par le Burkina Faso s’inscrit pleinement dans la dynamique de refondation engagée par le Capitaine Ibrahim Traoré depuis son accession à la magistrature suprême. Cette réforme, qui voit désormais tous les passeports ordinaires burkinabè estampillés du sceau de l’Alliance des États du Sahel (AES), est bien plus qu’un changement administratif, elle constitue un acte politique fort, une expression tangible de la souveraineté retrouvée et du projet d’émancipation en marche.

Sous l’impulsion du Capitaine Traoré, le Burkina Faso s’est engagé dans une dynamique de rupture avec les modèles imposés de l’extérieur, au profit d’une gouvernance enracinée, tournée vers les intérêts du peuple et des territoires. À travers la réforme des documents d’identité, c’est la question de l’appartenance, de la dignité et du contrôle des flux humains qui est réappropriée. La production entièrement nationale du passeport AES, à haute sécurité et conforme aux normes internationales, traduit la volonté du chef de l’État de faire du Burkina Faso un État fort, maître de ses outils et garant de la sécurité de ses citoyens.

Dans cette démarche, le Capitaine Traoré agit en parfaite cohérence avec ses homologues maliens et nigériens. Ensemble, ils bâtissent les fondations d’une nouvelle ère pour le Sahel : une ère d’intégration politique, économique et sécuritaire. L’AES devient un cadre de solidarité, mais surtout de stratégie commune face aux défis multiformes que connaît la région. Le passeport unique en est un symbole puissant. Il fluidifie la mobilité entre les peuples frères, renforce les mécanismes de contrôle et porte un message clair : le Sahel n’est plus un espace dominé, mais un espace organisé, unifié et debout.

L’impact de cette réforme est multiple. Sur le plan national, elle améliore la gouvernance administrative et la qualité du service public, comme l’a démontré la performance de l’ONI sous la supervision du Ministre de la Sécurité. Sur le plan régional, elle consolide le sentiment d’appartenance à une communauté souveraine. Sur le plan politique, elle incarne la vision du Capitaine Traoré et de ses homologues de bâtir des pays dignes, debout et en marche vers un avenir façonné par et pour les citoyens du sahel.

Ce passeport est donc bien plus qu’un document de voyage : c’est une déclaration d’indépendance moderne, une affirmation de dignité collective, et un outil stratégique pour la renaissance du Sahel.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *