Depuis la rupture franche et assumée avec les forces de domination étrangère, le Burkina Faso vit une transformation profonde. Mais cette transition souveraine menée par le Capitaine Ibrahim Traoré dérange. Elle dérange les anciennes puissances impérialistes qui, sous couvert d’« aide » ou de « coopération internationale », ont longtemps maintenu le pays dans un état de dépendance structurelle. Aujourd’hui, ces puissances, frustrées de voir un peuple se libérer de leurs griffes, n’ont trouvé d’autre réponse que la guerre asymétrique : une guerre par procuration, menée par des groupes armés instrumentalisés pour freiner l’élan de refondation nationale.
Les forces impérialistes ancrées dans une stratégie de sabotage, le Capitaine Ibrahim Traoré ne s’y est pas trompé. Loin de se laisser intimider, il renforce la résilience nationale à travers une série d’initiatives concrètes : réorganisation des forces de défense avec l’intégration des VDP, création d’unités industrielles stratégiques et contrôle souverain des ressources nationales. Sous son impulsion, le Burkina Faso se redresse, non pas par la mendicité internationale, mais par la force de ses propres bras et de sa jeunesse.
Cependant, cette renaissance souveraine ne plaît pas aux puissances impérialistes qui par le biais de certains médias occidentaux s’évertuent à déformer la réalité. Ils peignent un Burkina Faso « à genoux », incapable de se défendre, tentant de masquer l’échec de leur propre stratégie coloniale au Sahel. Ils construisent un narratif alarmiste, enchaînent les désinformations pour semer la peur, déstabiliser les esprits, briser la cohésion. Pourtant, sur le terrain, la réalité est toute autre : le peuple burkinabè est debout, fier, solidaire, et massivement engagé derrière la vision du Capitaine Ibrahim Traoré.
Face à ces multiples manœuvres des forces extérieures, il est impératif de rester vigilant. Vigilant face à la propagande, aux manipulations, aux tentatives de division. Le peuple doit resserrer les rangs, consolider sa souveraineté et poursuivre l’œuvre de refondation entamée. Le Burkina Faso est en train de s’extirper d’un système de prédation qui l’a longtemps paralysé, et chaque citoyen doit en être le gardien.
Le combat est rude, mais la victoire est possible, car elle est portée par la volonté d’un peuple libre et d’un leadership patriote et visionnaire.